Le jeudi 22 octobre 2020, le ministre de l'Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, déclare : « Ce qu'on appelle "l'islamo-gauchisme" fait des ravages. » Dans la foulée, les réactions du côté de la gauche sont unanimes, toutes dénoncent une insulte qui frôle le racisme. L'expression est aussi tôt associée à un discours d'extrême droite.
« Un jour les musulmans, le lendemain les juifs. Un jour les insoumis, le lendemain tous les autres partis à tour de rôle. L'offensive idéologique brune a toujours procédé de même sous toutes les latitudes. » Jean-Luc Mélenchon, le 22 octobre 2020
Pourtant, l'usage de ce terme permet essentiellement de désigner les ambiguïtés d'une partie de la gauche. Celle issue des mouvements altermondialistes qui n'hésite pas à défendre un islam politique déguisé en antiracisme.
Une enquête à retrouver sur www.lepoint.fr
« Un jour les musulmans, le lendemain les juifs. Un jour les insoumis, le lendemain tous les autres partis à tour de rôle. L'offensive idéologique brune a toujours procédé de même sous toutes les latitudes. » Jean-Luc Mélenchon, le 22 octobre 2020
Pourtant, l'usage de ce terme permet essentiellement de désigner les ambiguïtés d'une partie de la gauche. Celle issue des mouvements altermondialistes qui n'hésite pas à défendre un islam politique déguisé en antiracisme.
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