Quelque 200 personnes migrantes sans-abris, dont des femmes isolées, des couples et des familles avec de jeunes enfants avaient planté leurs tentes dans la nuit de lundi à mardi sur le parvis de la mairie parisienne. L’association d'aide aux migrants Utopia 56, à l’origine de cette actions spectaculaire, visait à « obtenir un hébergement pérenne pour la totalité d’entre elles ».
Délogées dans la matinée sur ordre de la prefecture de police et contre l'avis de la mairie, elles ont été accueillies temporairement dans les locaux de l'Hôtel de Ville et devraient être logées d'ici la fin de la journée dans des hôtels ou hébergés dans des gymnases.
« La préfecture ne veut plus de campement dans Paris, elle harcèle les réfugiés, elle les chasse… C'est pour cela que nous avons fait cette opération, pour les rendre visibles. Maintenant la mairie de Paris a le beau rôle, mais ça fait un mois que nous leur demandons des solutions. Nous sommes constamment chassés de Paris et ce n'est plus possible d'accepter cette politique de non-accueil continu des réfugiés. Quand cela va-t-il s'arrêter ? », se demande Utopia 56.
Délogées dans la matinée sur ordre de la prefecture de police et contre l'avis de la mairie, elles ont été accueillies temporairement dans les locaux de l'Hôtel de Ville et devraient être logées d'ici la fin de la journée dans des hôtels ou hébergés dans des gymnases.
« La préfecture ne veut plus de campement dans Paris, elle harcèle les réfugiés, elle les chasse… C'est pour cela que nous avons fait cette opération, pour les rendre visibles. Maintenant la mairie de Paris a le beau rôle, mais ça fait un mois que nous leur demandons des solutions. Nous sommes constamment chassés de Paris et ce n'est plus possible d'accepter cette politique de non-accueil continu des réfugiés. Quand cela va-t-il s'arrêter ? », se demande Utopia 56.
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