un égyptien insulte les algeriens en direct sur ENTV !
- il y a 15 ans
L'entraineur adjoint de du club El Masri d'Egypte S’est illustré sur l pelouse du stade de l’unité Maghrébine de Béjaia, non pas par ses choix tactiques ou ses conseils à ses protégés venus défendre leur billet de qualification en Algérie après une petite victoire chez eux, mais par son manque d’éducation.
A La fin de la rencontre qui s’est soldée par une victoire qualificative des Bejaoui contre El Masri, le « pseudo » entraineur s’est découvert une autre passion que le foot. Il s’est converti, le temps d’une cuisante défaite à Béjaia, en un vulgaire casseur. Il balance la table des juges sur la touche, et bouscule les officiels de la FIFA au vu de tout le monde.
« très » mauvais perdant s’en est pris à tout le monde sur le terrain et même en dehors. Il casse tout devant lui, tel un « bull ». Même les caméras de la télévision n’ont pas été épargnées par ce « phénomène ».
Ibrahim Hassen ne digérant pas l’élimination de sa petite équipe par le humbles Béjaouis, il commit l’irréparable. Il fait un bras d’honneur au public venu voir un match de football qui augurait de beaucoup de belles choses, vue la réputation des deux écoles algérienne et égyptienne.
Un geste digne de voyous qui n’ont pas leur places sur les stades sensé inculquer l’éducation et la compétition saine. Un Ibrahim Hassen qui n’a terni que l’image de son pays, l’Egypte.
Un grand pays et une civilisation milliaire ne peuvent qu’avoir honte de ce gamin venu faire le trouble fête dans un rendez vous qui aurait pu avoir une toute autre tournure
A La fin de la rencontre qui s’est soldée par une victoire qualificative des Bejaoui contre El Masri, le « pseudo » entraineur s’est découvert une autre passion que le foot. Il s’est converti, le temps d’une cuisante défaite à Béjaia, en un vulgaire casseur. Il balance la table des juges sur la touche, et bouscule les officiels de la FIFA au vu de tout le monde.
« très » mauvais perdant s’en est pris à tout le monde sur le terrain et même en dehors. Il casse tout devant lui, tel un « bull ». Même les caméras de la télévision n’ont pas été épargnées par ce « phénomène ».
Ibrahim Hassen ne digérant pas l’élimination de sa petite équipe par le humbles Béjaouis, il commit l’irréparable. Il fait un bras d’honneur au public venu voir un match de football qui augurait de beaucoup de belles choses, vue la réputation des deux écoles algérienne et égyptienne.
Un geste digne de voyous qui n’ont pas leur places sur les stades sensé inculquer l’éducation et la compétition saine. Un Ibrahim Hassen qui n’a terni que l’image de son pays, l’Egypte.
Un grand pays et une civilisation milliaire ne peuvent qu’avoir honte de ce gamin venu faire le trouble fête dans un rendez vous qui aurait pu avoir une toute autre tournure