La folie du Coronavirus. Corona madness. (with English Subtitles)
- il y a 4 ans
(vidéo tournée le 19 mars et publiée sur DailyMotion le 13 mai 2020)
La tyrannie s'installe avec l'assentiment des peuples. C'est terrifiant!
La panique s’est emparée de l’Occident qui découvre que les virus tuent. C’est leur raison d’être, non seulement dans les pays pauvres mais partout. Tant que l’humanité sera primitive, tant qu’elle vivra suivant ses pulsions élémentaires et sera guidée par les émotions primaires, les virus existeront et joueront leur rôle de contention et de régulation. C’est immoral et cruel, mais la nature est amorale et cruelle. Les sociétés industrielles redécouvrent tout d’un coup qu’elles font partie de la nature, où la mort côtoie la vie. Il y aura des morts, et de plus en plus, probablement parce que nous sommes trop nombreux sur Terre. La peur et la panique ne changeront rien à cela. Au contraire, elles ne font qu’empirer la situation. Le confinement obligatoire est quant à lui inefficace et liberticide.
Depuis Caracas (où il a été mis en quarantaine par les autorités peu après être arrivé sur le vol qui a transporté le premier malade au Venezuela), David, se demande comment on a pu en venir à cette catastrophe, non pas celle du virus, mais à celle des populations de nations entières qui ont docilement accepté de se retrouver enfermées chez elles et qui ont participé, à un degré ou à un autre, à l’hystérie collective, magistralement orchestrée par les médias et institutionalisée par les gouvernements, sur fond de la symphonie pathétique qui entraine les peuples vers les pires folies et incohérences.
La tyrannie s'installe avec l'assentiment des peuples. C'est terrifiant!
La panique s’est emparée de l’Occident qui découvre que les virus tuent. C’est leur raison d’être, non seulement dans les pays pauvres mais partout. Tant que l’humanité sera primitive, tant qu’elle vivra suivant ses pulsions élémentaires et sera guidée par les émotions primaires, les virus existeront et joueront leur rôle de contention et de régulation. C’est immoral et cruel, mais la nature est amorale et cruelle. Les sociétés industrielles redécouvrent tout d’un coup qu’elles font partie de la nature, où la mort côtoie la vie. Il y aura des morts, et de plus en plus, probablement parce que nous sommes trop nombreux sur Terre. La peur et la panique ne changeront rien à cela. Au contraire, elles ne font qu’empirer la situation. Le confinement obligatoire est quant à lui inefficace et liberticide.
Depuis Caracas (où il a été mis en quarantaine par les autorités peu après être arrivé sur le vol qui a transporté le premier malade au Venezuela), David, se demande comment on a pu en venir à cette catastrophe, non pas celle du virus, mais à celle des populations de nations entières qui ont docilement accepté de se retrouver enfermées chez elles et qui ont participé, à un degré ou à un autre, à l’hystérie collective, magistralement orchestrée par les médias et institutionalisée par les gouvernements, sur fond de la symphonie pathétique qui entraine les peuples vers les pires folies et incohérences.