En 2009 plusieurs milliers de mètres cubes de pétrole brut se déversaient sur la Réserve naturelle des coussouls.
Les spécialistes ont commencé par le nettoyer en évacuant les sols abîmés sur 40 à 50 centimètres de profondeur.
Ils ont ensuite versé des terres identiques prélevées aux abords d’une carrière alluvionnaires en cours de développement.
Des graines, bactéries ou encore des champignons ont été réimplantés.
Les scientifiques ont décidé de faire appel à des fourmis moissonneuses, aussi appelées Messor barbarus.
169 reines ont fécondé et ont été déposées dans des nids entre 2011 et 2012.
Les fourmis brassent le sol, le labourent, incorporent de la matière organique et transportent et redistribuent les graines.
« On a probablement gagné plusieurs dizaines d’années dans la restauration de la steppe d’origine »
Les spécialistes ont commencé par le nettoyer en évacuant les sols abîmés sur 40 à 50 centimètres de profondeur.
Ils ont ensuite versé des terres identiques prélevées aux abords d’une carrière alluvionnaires en cours de développement.
Des graines, bactéries ou encore des champignons ont été réimplantés.
Les scientifiques ont décidé de faire appel à des fourmis moissonneuses, aussi appelées Messor barbarus.
169 reines ont fécondé et ont été déposées dans des nids entre 2011 et 2012.
Les fourmis brassent le sol, le labourent, incorporent de la matière organique et transportent et redistribuent les graines.
« On a probablement gagné plusieurs dizaines d’années dans la restauration de la steppe d’origine »
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