L'Assemblée nationale a engagé mercredi 17 décembre 2008, dans un climat que la gauche a voulu détestable, le débat sur les dérogations au repos dominical.
Face aux insultes et aux quolibets, à la demande de Jean-François Copé, le président de l'Assemblée, Bernard Accoyer, a décidé de lever la séance plus tôt que prévu.
Lors d'une table ronde sur l'avenir de la ruralité, jeudi 18 décembre, le Président de la République a indiqué "Que l'opposition, si elle a des idées, n'hésite pas à les donner pour résoudre les problèmes de la France, je serais très heureux de les écouter et de les entendre".
"Mais les injures, le blocage systématique, empêcher de voter des textes, empêcher des réformes pour le seul plaisir d'empêcher des réformes, inquiéter des jeunes pour le seul plaisir d'inquiéter des jeunes, c'est pas la démocratie ça c'est la pagaille"
Face aux insultes et aux quolibets, à la demande de Jean-François Copé, le président de l'Assemblée, Bernard Accoyer, a décidé de lever la séance plus tôt que prévu.
Lors d'une table ronde sur l'avenir de la ruralité, jeudi 18 décembre, le Président de la République a indiqué "Que l'opposition, si elle a des idées, n'hésite pas à les donner pour résoudre les problèmes de la France, je serais très heureux de les écouter et de les entendre".
"Mais les injures, le blocage systématique, empêcher de voter des textes, empêcher des réformes pour le seul plaisir d'empêcher des réformes, inquiéter des jeunes pour le seul plaisir d'inquiéter des jeunes, c'est pas la démocratie ça c'est la pagaille"
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