Et si on pouvait visualiser la vie d'un proche décédé quand on va visiter sa tombe ?
C'est le principe des tombes connectées. Elles ont un QR code apposé dessus que l'on peut scanner et qui nous mène sur un site web avec toutes les informations concernant la personne disparu.
Sur le site on peut rajouter des vidéos, des photos, tout ce qui rappelle le défunt, qui permet de raconter sa vie. Et de perpétuer le souvenir.
C'est une nouvelle technologie très utilisé aux Etats-Unis. Plusieurs sites internets proposent d'acheter un pack qui contient le site internet, le QR code à poser sur la tombe et l'hébergement.
Une fois qu'on a choisi tout ce qu'on a mettre dessus, le site est validé et impossible de le changer, pour éviter toute usurpation ou fausses informations.
Si le concept cartonne aux Etats-Unis, en France il peine à trouver son publique...
"En France on a un rapport plus intime à la mort et je pense que les gens qui «fréquentent» les cimetières ne sont pas forcément ceux qui utilisent le plus les smartphones." Laurent Perrin, créateur du site en-souvenir.fr.
Si ce n'est pas encore une habitude en France, peut-être qu'elle va le devenir avec les nouvelles générations qui sont très connectées.
C'est le principe des tombes connectées. Elles ont un QR code apposé dessus que l'on peut scanner et qui nous mène sur un site web avec toutes les informations concernant la personne disparu.
Sur le site on peut rajouter des vidéos, des photos, tout ce qui rappelle le défunt, qui permet de raconter sa vie. Et de perpétuer le souvenir.
C'est une nouvelle technologie très utilisé aux Etats-Unis. Plusieurs sites internets proposent d'acheter un pack qui contient le site internet, le QR code à poser sur la tombe et l'hébergement.
Une fois qu'on a choisi tout ce qu'on a mettre dessus, le site est validé et impossible de le changer, pour éviter toute usurpation ou fausses informations.
Si le concept cartonne aux Etats-Unis, en France il peine à trouver son publique...
"En France on a un rapport plus intime à la mort et je pense que les gens qui «fréquentent» les cimetières ne sont pas forcément ceux qui utilisent le plus les smartphones." Laurent Perrin, créateur du site en-souvenir.fr.
Si ce n'est pas encore une habitude en France, peut-être qu'elle va le devenir avec les nouvelles générations qui sont très connectées.
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