Sarkozy, Contrôle Absolu de la Télé et Médias : ORTS
- il y a 15 ans
ORTS : Office de Radiodiffusion et Télévision de Sarkozy fait place à l'ORTF :
Les députés PS membres ont ainsi estimé que Nicolas Sarkozy portait «un coup grave à l'indépendance des médias» en annonçant que le président de France Télévisions serait désormais nommé par le gouvernement.
Pour les parlementaires PS, «plus que jamais, la réforme prétendument historique de l'audiovisuel public n'est là que pour masquer les multiples cadeaux faits récemment aux chaînes privées.
Plus que jamais, TF1 l'a rêvé et Sarkozy l'a fait!».
Pour Julien Dray, porte-parole du PS, «c'est la fin de l'audiovisuel public qui est programmée, car le financement est médiocre».
Quant à Arnaud Montebourg, il estime que cette réforme va déboucher sur «plus de dépendance à l'égard du pouvoir politique (et) une perte de liberté», dénonçant la volonté de «propagande» du pouvoir, qui «utiliserait» les médias comme «arme de guerre».
De même, l'ancien ministre socialiste de la Culture Jack Lang a déploré «une régression. On revient à la période ante-1981».
La télé redevient gaullienne avec son président nommé par l'Elysée.
Au Gouvernement qui met une laisse à la télé publique :
"Bien informés, les hommes sont des citoyens ; mal informés ils deviennent des sujets." Alfred Sauvy
Les députés PS membres ont ainsi estimé que Nicolas Sarkozy portait «un coup grave à l'indépendance des médias» en annonçant que le président de France Télévisions serait désormais nommé par le gouvernement.
Pour les parlementaires PS, «plus que jamais, la réforme prétendument historique de l'audiovisuel public n'est là que pour masquer les multiples cadeaux faits récemment aux chaînes privées.
Plus que jamais, TF1 l'a rêvé et Sarkozy l'a fait!».
Pour Julien Dray, porte-parole du PS, «c'est la fin de l'audiovisuel public qui est programmée, car le financement est médiocre».
Quant à Arnaud Montebourg, il estime que cette réforme va déboucher sur «plus de dépendance à l'égard du pouvoir politique (et) une perte de liberté», dénonçant la volonté de «propagande» du pouvoir, qui «utiliserait» les médias comme «arme de guerre».
De même, l'ancien ministre socialiste de la Culture Jack Lang a déploré «une régression. On revient à la période ante-1981».
La télé redevient gaullienne avec son président nommé par l'Elysée.
Au Gouvernement qui met une laisse à la télé publique :
"Bien informés, les hommes sont des citoyens ; mal informés ils deviennent des sujets." Alfred Sauvy