Mercredi soir, lors de ses vœux à Saint-Maurice-l’Exil, le président d’Entre Bièvre et Rhône Francis Charvet a souhaité mettre les points sur les « i », concernant le fonctionnement de l’établissement intercommunal. Observant, notamment dans nos colonnes et lors de leurs vœux respectifs, le positionnement « très divers de quelques élus », il a expliqué que « la vie d’une intercommunalité n’est pas un long fleuve tranquille », que chaque élu a « le droit de faire entendre sa voix et ses différences », mais qu’en revanche une intercommunalité n’avait pas pour vocation d’être au service d’un commune, mais d’un territoire.
De fait, dans plusieurs communes, notamment dans celles de l’ex-territoire de Beaurepaire, des maires et d’autres élus, ces dernières semaines, ont réclamé davantage de solidarité de la part de l’intercommunalité, laissant entendre, en creux, qu’ils se sentaient comme les oubliés de la fusion avec l’ex-Pays roussillonnais. Pas de quoi déstabiliser Francis Charvet. « J’ai l’expérience suffisante pour considérer que les politiques menées ; au-delà de certaines réactions, vont dans la bonne direction ».
De fait, dans plusieurs communes, notamment dans celles de l’ex-territoire de Beaurepaire, des maires et d’autres élus, ces dernières semaines, ont réclamé davantage de solidarité de la part de l’intercommunalité, laissant entendre, en creux, qu’ils se sentaient comme les oubliés de la fusion avec l’ex-Pays roussillonnais. Pas de quoi déstabiliser Francis Charvet. « J’ai l’expérience suffisante pour considérer que les politiques menées ; au-delà de certaines réactions, vont dans la bonne direction ».
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