A l'occasion d'un déplacement à Jérusalem, mercredi 22 janvier, Emmanuel Macron a invectivé les forces de sécurité israéliennes devant l'église Sainte-Anne. Un échange tendu qui rappelle celui qui avait marqué la visite de Jacques Chirac dans le pays en 1996.
La première sortie diplomatique de l'ancien Président de la République avait été encadré avec vigueur par les forces de l'ordre israéliennes. Dans le quartier arabe, un cordon de policiers l'empêche alors d'approcher ceux qui l'acclament. Jacques Chirac s'agace et s'emporte : «Qu'est-ce que vous voulez ? Que je reprenne mon avion et que je retourne en France, c'est ça ? Laissez-les faire !» Cette séquence fait rapidement le tour du monde et propulse Jacques Chirac au rang de héros du monde arabe. Une rue porte d'ailleurs son nom à Ramallah, en Cisjordanie, depuis son départ de l'Elysée en 2007.
Vingt-quatre ans plus tard, mercredi 22 janvier, Emmanuel Macron a marché dans les pas de son prédécesseur devant l'église Sainte-Anne. Au même endroit que Jacques Chirac, il a haussé le ton à l'encontre des forces de l'ordre israéliennes non autorisées à pénétrer dans le lieu de culte, territoire français. «Tout le monde connaît les règles, a t-il déclaré en anglais. Je n'aime pas ce que vous avez fait devant moi. Allez dehors. Je suis désolé. Vous connaissez les règles»
La première sortie diplomatique de l'ancien Président de la République avait été encadré avec vigueur par les forces de l'ordre israéliennes. Dans le quartier arabe, un cordon de policiers l'empêche alors d'approcher ceux qui l'acclament. Jacques Chirac s'agace et s'emporte : «Qu'est-ce que vous voulez ? Que je reprenne mon avion et que je retourne en France, c'est ça ? Laissez-les faire !» Cette séquence fait rapidement le tour du monde et propulse Jacques Chirac au rang de héros du monde arabe. Une rue porte d'ailleurs son nom à Ramallah, en Cisjordanie, depuis son départ de l'Elysée en 2007.
Vingt-quatre ans plus tard, mercredi 22 janvier, Emmanuel Macron a marché dans les pas de son prédécesseur devant l'église Sainte-Anne. Au même endroit que Jacques Chirac, il a haussé le ton à l'encontre des forces de l'ordre israéliennes non autorisées à pénétrer dans le lieu de culte, territoire français. «Tout le monde connaît les règles, a t-il déclaré en anglais. Je n'aime pas ce que vous avez fait devant moi. Allez dehors. Je suis désolé. Vous connaissez les règles»
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