Des chercheurs américains sont parvenus à miniaturiser un accélérateur d’électrons et à l’intégrer sur une puce électronique.
Ce dispositif pourrait permettre de développer des traitements plus efficaces contre le cancer.
Dans les accélérateurs ordinaires, les particules sont acheminées par des tubes à vide et accélérées.
Ici, les électrons transitent via un canal scellé sous vide de 25 micromètres de long.
Ce micro-accélérateur n’utilise pas de micro-ondes ou d’aimants pour accélérer ses particules.
Il utilise la lumière infrarouge, acheminée par les fils de silicium qui tapissent les parois du canal.
Le laser infrarouge en question émet des impulsions 100 000 fois par seconde.
Il envoie à chaque fois une rafale de photons qui frappent les électrons selon un certain angle afin de les accélérer.
Les chercheurs américains évoquent la mise au point de thérapies anticancéreuses plus ciblées.
Les électrons accélérés par ce dispositif pourraient être canalisés afin de frapper directement les cellules cancéreuses.
Ce dispositif pourrait permettre de développer des traitements plus efficaces contre le cancer.
Dans les accélérateurs ordinaires, les particules sont acheminées par des tubes à vide et accélérées.
Ici, les électrons transitent via un canal scellé sous vide de 25 micromètres de long.
Ce micro-accélérateur n’utilise pas de micro-ondes ou d’aimants pour accélérer ses particules.
Il utilise la lumière infrarouge, acheminée par les fils de silicium qui tapissent les parois du canal.
Le laser infrarouge en question émet des impulsions 100 000 fois par seconde.
Il envoie à chaque fois une rafale de photons qui frappent les électrons selon un certain angle afin de les accélérer.
Les chercheurs américains évoquent la mise au point de thérapies anticancéreuses plus ciblées.
Les électrons accélérés par ce dispositif pourraient être canalisés afin de frapper directement les cellules cancéreuses.
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