Le CSA saisi après la diffusion d’une publicité Nana intitulée « Vive la vulve »
- il y a 5 ans
Le gendarme de l’audiovisuel a reçu un millier de signalements après la diffusion d’une publicité Nana qui représentent le sexe féminin.
Des représentations de vulves roses et du sang rouge, voilà ce qu’on peut voir dans la dernière publicité de la marque de protection périodique Nana, à la télévision.
Le sexe féminin y est représenté par un coquillage, une pêche, un cupcake, un origami ou encore des porte-monnaie colorés. Des images explicites qui ont été saluées sur les réseaux sociaux et qui ont aussi dérangé certains téléspectateurs.
Une pétition demande le retrait de la publicité
Le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) a été saisi un peu plus d’un millier de fois, selon BFMTV, un chiffre relativement faible selon l’autorité comparé à d’autres séquences épinglées par des téléspectateurs. Le gendarme de l’audiovisuel n’a par ailleurs pas le pouvoir de retirer une publicité, c’est « l’Autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP) qui peut exiger le retrait d’un spot qui contrevient à la loi », précise nos confrères.
Une pétition a été lancée sur change.org et a recueilli près de 8 500 signatures. Elle demande le retrait de la séquence des chaînes. « Cette pub montre une image dégradante sur l’intimité de la femme. D’autant plus que cette publicité passe à toute heure de la journée sur des chaînes publiques. Cette publicité est choquante aux yeux de tous et surtout aux yeux des plus jeunes téléspectateurs ».
Des représentations de vulves roses et du sang rouge, voilà ce qu’on peut voir dans la dernière publicité de la marque de protection périodique Nana, à la télévision.
Le sexe féminin y est représenté par un coquillage, une pêche, un cupcake, un origami ou encore des porte-monnaie colorés. Des images explicites qui ont été saluées sur les réseaux sociaux et qui ont aussi dérangé certains téléspectateurs.
Une pétition demande le retrait de la publicité
Le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) a été saisi un peu plus d’un millier de fois, selon BFMTV, un chiffre relativement faible selon l’autorité comparé à d’autres séquences épinglées par des téléspectateurs. Le gendarme de l’audiovisuel n’a par ailleurs pas le pouvoir de retirer une publicité, c’est « l’Autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP) qui peut exiger le retrait d’un spot qui contrevient à la loi », précise nos confrères.
Une pétition a été lancée sur change.org et a recueilli près de 8 500 signatures. Elle demande le retrait de la séquence des chaînes. « Cette pub montre une image dégradante sur l’intimité de la femme. D’autant plus que cette publicité passe à toute heure de la journée sur des chaînes publiques. Cette publicité est choquante aux yeux de tous et surtout aux yeux des plus jeunes téléspectateurs ».