Nantes. Un migrant trouvé mort au gymnase Jeanne-Bernard
Nantes. Un migrant trouvé mort au gymnase Jeanne-Bernard.
L’un des 800 migrants entassés depuis un an au gymnase Jeanne-Bernard, à Saint-Herblain, près de Nantes, a été trouvé mort ce jeudi matin 3 octobre, dans sa tente. Il s’agirait d’un arrêt cardiaque. Sur place, les nerfs sont à vif.
Sur place, la situation est très, très tendue. La rue est bouclée. Des migrants viennent d’allumer un grand feu de poubelle. Les forces de l’ordre ont eu recours au gaz lacrymogène pour faire face à la colère des réfugiés.
Ce qui a mis le feu aux poudres ? Ce jeudi 3 octobre, au matin, l’un des migrants qui campent dans l’ancien gymnase Jeanne-Bernard, à Saint-Herblain, près de Nantes, a été retrouvé décédé, dans sa tente. Ses voisins d’infortune ont donné l’alerte et appelé les pompiers Ce réfugié serait mort pendant la nuit. Il s’appelait Omar.
Johanna Rolland, présidente de Nantes-Métropole, vient de le confirmer : « Un homme de 35 ans qui souffrait de maux de ventre et ne s’est pas réveillé ce matin ». Une autre source parle d’un arrêt cardiaque.
Forces de l’ordre impressionnantes
En ce début d’après-midi, la situation est extrêmement tendue, alors que la police est venue sur place pour enlever le corps, sous une bâche blanche. Certains migrants ne veulent pas se séparer de leur copain, d’autres hurlent contre la situation déplorable dans laquelle ils vivent depuis un an, dans cet ancien gymnase, délabré.
« Quelles que soient les conclusions de l’enquête, je veux dire ma colère et mon écœurement. Qu’est-ce que le ministère de l’Intérieur attend pour agir », a lancé Johanna Rolland.
L’un des 800 migrants entassés depuis un an au gymnase Jeanne-Bernard, à Saint-Herblain, près de Nantes, a été trouvé mort ce jeudi matin 3 octobre, dans sa tente. Il s’agirait d’un arrêt cardiaque. Sur place, les nerfs sont à vif.
Sur place, la situation est très, très tendue. La rue est bouclée. Des migrants viennent d’allumer un grand feu de poubelle. Les forces de l’ordre ont eu recours au gaz lacrymogène pour faire face à la colère des réfugiés.
Ce qui a mis le feu aux poudres ? Ce jeudi 3 octobre, au matin, l’un des migrants qui campent dans l’ancien gymnase Jeanne-Bernard, à Saint-Herblain, près de Nantes, a été retrouvé décédé, dans sa tente. Ses voisins d’infortune ont donné l’alerte et appelé les pompiers Ce réfugié serait mort pendant la nuit. Il s’appelait Omar.
Johanna Rolland, présidente de Nantes-Métropole, vient de le confirmer : « Un homme de 35 ans qui souffrait de maux de ventre et ne s’est pas réveillé ce matin ». Une autre source parle d’un arrêt cardiaque.
Forces de l’ordre impressionnantes
En ce début d’après-midi, la situation est extrêmement tendue, alors que la police est venue sur place pour enlever le corps, sous une bâche blanche. Certains migrants ne veulent pas se séparer de leur copain, d’autres hurlent contre la situation déplorable dans laquelle ils vivent depuis un an, dans cet ancien gymnase, délabré.
« Quelles que soient les conclusions de l’enquête, je veux dire ma colère et mon écœurement. Qu’est-ce que le ministère de l’Intérieur attend pour agir », a lancé Johanna Rolland.
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