L'Agence du médicament (ANSM) souhaite que les anti-douleurs contenant du paracétamol, de l'ibuprofène, ainsi que l'aspirine, ne soient plus vendus en libre-service en pharmacie, mais derrière le comptoir. Une façon de limiter les risques liés à un mauvais usage de ces produits vendus sans ordonnance.
L'ANSM voudrait que cette mesure entre en vigueur dès janvier 2020. Elle concernerait 36 spécialités à base de paracétamol (Doliprane, Efferalgan...) et 46 anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), notamment ceux à base d'ibuprofène (comme le Nurofen ou l'Advil) et l'aspirine.
Jusqu'à maintenant, ces médicaments - qui sont les plus utilisés en automédication en France selon l'ANSM - peuvent être vendus en accès direct, c'est-à-dire en se servant soi-même dans les rayons de la pharmacie. C'est toutefois laissé à la discrétion de chaque pharmacien, qui peut choisir de les placer derrière son comptoir.
L'ANSM voudrait que cette mesure entre en vigueur dès janvier 2020. Elle concernerait 36 spécialités à base de paracétamol (Doliprane, Efferalgan...) et 46 anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), notamment ceux à base d'ibuprofène (comme le Nurofen ou l'Advil) et l'aspirine.
Jusqu'à maintenant, ces médicaments - qui sont les plus utilisés en automédication en France selon l'ANSM - peuvent être vendus en accès direct, c'est-à-dire en se servant soi-même dans les rayons de la pharmacie. C'est toutefois laissé à la discrétion de chaque pharmacien, qui peut choisir de les placer derrière son comptoir.
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