Normandie. Des chasseurs contre Luc Besson : l’audience renvoyée au 4 novembre.
Le conflit qui oppose la Fédération des chasseurs de l’Orne au réalisateur devait être tranché ce lundi 30 septembre. Un renvoi a été sollicité par la défense de Luc Besson.
« Nous n’avons reçu les conclusions de la partie adverse que jeudi 26 septembre et je souhaite y apporter des précisions », a indiqué, ce lundi 30 septembre, Me Jean-Marc Descoubes, avocat du réalisateur Luc Besson dans le conflit qui l’oppose aux chasseurs de l’Orne.
L’affaire devait être jugée, ce lundi, devant le tribunal d’instance d’Argentan mais a été renvoyée au lundi 4 novembre.
La Fédération des chasseurs de l’Orne réclame 120 000 € au cinéaste en dédommagement des indemnisations versées aux agriculteurs dont les cultures, situées à proximité de la propriété ornaise de Luc Besson, ont subi des dégâts liés aux cervidés, entre 2012 et 2019. Selon la Fédération, ces dégâts seraient liés à une prolifération de cerfs dans la propriété du réalisateur.
Second report
« On ne peut pas être condamné parce qu’on refuse de tuer un animal. Et contrairement à ce que veut faire croire la Fédération de la chasse de l’Orne, il n’y a pas de concentration anormale de gibier sauvage chez Luc Besson », contre-attaquait la défense du cinéaste, après le report d’une première audience, fixée au 16 septembre. Celle-ci avait été repoussée en raison d’un mouvement de grève des avocats.
Le conflit qui oppose la Fédération des chasseurs de l’Orne au réalisateur devait être tranché ce lundi 30 septembre. Un renvoi a été sollicité par la défense de Luc Besson.
« Nous n’avons reçu les conclusions de la partie adverse que jeudi 26 septembre et je souhaite y apporter des précisions », a indiqué, ce lundi 30 septembre, Me Jean-Marc Descoubes, avocat du réalisateur Luc Besson dans le conflit qui l’oppose aux chasseurs de l’Orne.
L’affaire devait être jugée, ce lundi, devant le tribunal d’instance d’Argentan mais a été renvoyée au lundi 4 novembre.
La Fédération des chasseurs de l’Orne réclame 120 000 € au cinéaste en dédommagement des indemnisations versées aux agriculteurs dont les cultures, situées à proximité de la propriété ornaise de Luc Besson, ont subi des dégâts liés aux cervidés, entre 2012 et 2019. Selon la Fédération, ces dégâts seraient liés à une prolifération de cerfs dans la propriété du réalisateur.
Second report
« On ne peut pas être condamné parce qu’on refuse de tuer un animal. Et contrairement à ce que veut faire croire la Fédération de la chasse de l’Orne, il n’y a pas de concentration anormale de gibier sauvage chez Luc Besson », contre-attaquait la défense du cinéaste, après le report d’une première audience, fixée au 16 septembre. Celle-ci avait été repoussée en raison d’un mouvement de grève des avocats.
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