Le 25 août 1976, Jacques Chirac claque la porte de Matignon. Le président de la République, Valéry Giscard d'Estaing, n'a d'autre choix que d'accepter sa démission. Cette journée signe le début d'une guerre fratricide entre les deux hommes.
"Ça n'est pas une brouille, ça n'est pas une querelle. C'est non seulement un divorce mais un divorce dans le cataclysme. C'est le début d'une mésentente qui va durer pendant des années entre les deux hommes. Ils ne se réconcilieront jamais", explique Alain Duhamel.
Un duel donc, dont "Valéry Giscard d'Estaing sort affaibli", analyse Alain Duhamel. Quant à Jacques Chirac, c'était "le début de ses ambitions présidentielles, de la première marche de ce qui un jour devait se terminer à l'Élysée".
Toutes les deux semaines, le jeudi, dans "L'œil de la République", Alain Duhamel, grand observateur de la vie politique française, nous fait redécouvrir notre histoire politique contemporaine.
"Ça n'est pas une brouille, ça n'est pas une querelle. C'est non seulement un divorce mais un divorce dans le cataclysme. C'est le début d'une mésentente qui va durer pendant des années entre les deux hommes. Ils ne se réconcilieront jamais", explique Alain Duhamel.
Un duel donc, dont "Valéry Giscard d'Estaing sort affaibli", analyse Alain Duhamel. Quant à Jacques Chirac, c'était "le début de ses ambitions présidentielles, de la première marche de ce qui un jour devait se terminer à l'Élysée".
Toutes les deux semaines, le jeudi, dans "L'œil de la République", Alain Duhamel, grand observateur de la vie politique française, nous fait redécouvrir notre histoire politique contemporaine.
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