L'Ultra trail du Mont-Blanc fait office de laboratoire à ciel ouvert pour deux grandes études destinées à qualifier la fatigue ainsi que les troubles associés au terme de ces ultra marathons (jusqu’à 170 km d’effort pour 10 000 m de dénivelé). Dans le camp de base du centre médical de l’école nationale de ski est d’alpinisme (Ensa) de Chamonix , la prestigieuse clinique Mayo (USA) passe 40 concurrents au révélateur par une série de tests avant et juste après les épreuves pour déterminer l’influence de l’altitude et de l’effort extrême sur les risques d’œdème pulmonaire. Quant à l’Université et le CHU de Saint-Etienne, avec le Laboratoire interuniversitaire de biologie de la motricité et la Chaire ActiFS, l’équipe pilotée par Guillaume Millet évalue 86 trailers.
Objectif : valider l’hypothèse selon laquelle la fatigue des mollets et la perte de force maximale des quadriceps seraient moindres chez les femmes après 110 km de course. Il s’agit aussi de comprendre les répercussions physiologiques d’un ultra-marathon en montagne en fonction du sexe et de la distance de course, notamment au niveau du cerveau. Les explications avec le professeur Léonard Feasson médecin physiologiste.
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Objectif : valider l’hypothèse selon laquelle la fatigue des mollets et la perte de force maximale des quadriceps seraient moindres chez les femmes après 110 km de course. Il s’agit aussi de comprendre les répercussions physiologiques d’un ultra-marathon en montagne en fonction du sexe et de la distance de course, notamment au niveau du cerveau. Les explications avec le professeur Léonard Feasson médecin physiologiste.
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