Fatou Diome sur son dernier roman, Les Veilleurs de Sangomar : "Je voulais m’intéresser à la chambre à coucher, là où les gens sont face à leur blues. Comment on comble les béances d’une vie pour continuer à marcher"

Fatou Diome : "Je veux que mon histoire soit un socle depuis lequel bondir vers l'avenir"

Angèle : "Beaucoup m'avaient diagnostiqué à l'avance un burn-out, je les remercie de faire attention à moi, mais non (...). Il faut que j'écrive des choses intéressantes, et je ne sais pas ce que je vais raconter si je suis toujours en tournée"

David Djaïz, haut fonctionnaire et auteur : "Je ne me sens pas partie de l'élite. Je viens d'un département rural, j'ai travaillé à l'école, j'ai passé des concours (...) j'ai écrit ce livre car j'ai la passion de la France"

Rentrée littéraire: Fatou Diome donne trois bonnes raisons de lire son livre «Les Veilleurs de Sangomar»

Muriel Robin : "Guy Bedos est la personne la plus tendre que j'aie rencontrée dans ma vie. Son regard était plein de tendresse, d'amour."

Pierre Lescure : "Guy Bedos était sans doute, parmi les humoristes, l'un des plus cultivés"

Angèle : "Ce que j'écris est un questionnement avant d'être une prise de position. Je n'ai pas envie de me dire que c'est une responsabilité, parce que cela voudrait dire que je devrais être irréprochable, alors que j'ai 24 ans."

Karine Tuil, écrivaine, publie "Les choses humaines" : "J'ai commencé à travailler sur ce livre avant #Metoo"

Vincent Dedienne de retour dans le studio de la matinale d'Inter : "J'ai une petite tendresse de revoir Dominique Seux, quand il dit "mon petit doigt me dit". C'est marrant, ça me refout le trac d'être là."

Boris Cyrulnik, psychiatre, invité d'Ali Baddou

"C'est fou de vouloir mettre la mort de côté, alors que (...) ça fait partie intimement de la vie" (Anne-Dauphine Julliand)

Morgane Seliman, victime de violences conjugales auteure du livre "Il m'a volé ma vie" (XO) : "Vous, les journalistes, me protégez, pas la justice"

"Ici, j'aime l'hôpital. Quelle chance on a, d'être en France : mes amis américains me regardent comme si c'était de la science-fiction"(Susie Morgenstern)

Rencontre avec FRANCOIS NKEME, l’éditeur camerounais qui a cru le premier en DJAILI AMADOU AMAL

Marjane Satrapi : "Quand vous donnez le Nobel à Nargis Mohammadi, vous célébrez les Iraniens qui se font tuer"

Dominique Eddé : "Comment voulez-vous que nous mettions nos espoirs dans un pouvoir bricolé avec les mêmes, et par les mêmes que ceux qui portent la responsabilité, trente ans durant, d'une faillite monumentale ?"

Angèle : "Ce que j'écris dans mes chansons est un questionnement avant d'être une prise de position"

L'humoriste Blanche Gardin défend la fondation Abbé Pierre : "Je me suis rendu compte que ma vision du problème des sans-abri était un peu fataliste"

David Djaïz, haut fonctionnaire et auteur : "Comment reprendre son destin en mains ? Grâce à une série de mécanismes qui touchent à notre identité démocratique : la délibération publique."

Dominique Eddé : "Le Liban a été soumis à toutes les ingérences les plus négatives et les plus néfastes. On ne peut pas feindre, tout d'un coup, d'être un pays indépendant où un chef d'État étranger viendrait s'ingérer."

Jul, dessinateur publie le tome 2 de "50 nuances de Grecs", (avec Charles Pepin, philosophe) : "La traversée de la Méditerranée d'Ulysse synthétise le drame quotidien des migrants"

Clara Luciani : "Pour la fête de la musique, j'allais à Marseille avec mon père et ma soeur (...) J'ai tué Wonderwall plusieurs fois"

Médéa Azouri : "On a travaillé sur la reconstruction, le déblayage, les distributions de nourriture. On est une équipe de volontaires qui s'est formée très spontanément."

Angèle : "Quand j'ai écrit "Balance ton Quoi", ça partait d'un sentiment de vouloir expliquer que (...) cette crainte que j'avais dans les transports, dans la rue, c'était un poids que je partageais avec quasiment la totalité des femmes qui m'entouraient"

"La première chose que je pense en me réveillant, c'est : je ne vais pas y arriver", confie Amélie Nothomb