De nos jours, être Yakuza n'est plus un statut glorieux et avantageux comme dans les années 60.
Le crime organisé se "dépopularise" et cela pour deux raisons principales : le vieillissement général de la population japonaise a considérablement impacté les Yakuzas, plus de la moitiés des actifs ont plus de 50 ans et 10% plus de 70 ans.
Une répression juridique à l'égard du crime existe désormais au Japon contrairement aux années 60 pendant lesquelles le pouvoir était en grande partie détenu par les Yakuzas.
Aujourd'hui, les Yakuzas peinent à attirer des jeunes et leur recensement par la police japonaise démontre une baisse conséquente puisqu'ils ne représentent plus que 14% de la population.
La répression policière face au gangstérisme s'est aiguisée ces dernières années d'où la baisse d'influence et d'activité des groupes liés à la violence.
En plus de ça les Yakuzas doivent faire face à de nombreuses restrictions financières et sociales comme l'interdiction d'ouvrir un compte bancaire ou d'obtenir une assurance.
Le crime organisé se "dépopularise" et cela pour deux raisons principales : le vieillissement général de la population japonaise a considérablement impacté les Yakuzas, plus de la moitiés des actifs ont plus de 50 ans et 10% plus de 70 ans.
Une répression juridique à l'égard du crime existe désormais au Japon contrairement aux années 60 pendant lesquelles le pouvoir était en grande partie détenu par les Yakuzas.
Aujourd'hui, les Yakuzas peinent à attirer des jeunes et leur recensement par la police japonaise démontre une baisse conséquente puisqu'ils ne représentent plus que 14% de la population.
La répression policière face au gangstérisme s'est aiguisée ces dernières années d'où la baisse d'influence et d'activité des groupes liés à la violence.
En plus de ça les Yakuzas doivent faire face à de nombreuses restrictions financières et sociales comme l'interdiction d'ouvrir un compte bancaire ou d'obtenir une assurance.
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