Nom de code : "BAM", pour "Bâtiment des affaires maritimes". Ambition : devenir un lieu d’exception à Marseille. Montant de l’investissement initial pour atteindre ce premier objectif : 15 millions d’euros, afin de réhabiliter totalement un bâtiment construit en 1866 avant d’être laissé à l’abandon durant plusieurs années puis squatté en 2014… "Pour autant, nous avons eu un véritable coup de cœur pour les 3880 m² de l’ilot", confie Delphine Gineste, la directrice générale d’Habside, ex-Perimmo, qui a réalisé l’an passé un chiffre d’affaires de 40 millions d’euros et qui vise la barre des 60 millions cette année.
"Nous avons répondu et gagné un appel à projets avec l’ambition, à la base, de faire une auberge de jeunesse 2.0. Mais, quasiment dans le même temps, The Babel Community est sorti avec un concept novateur et un projet était envisagé aux abords de la Rue de la République pour faire… une auberge de jeunesse ! En interne, nous envisagions de redessiner notre société en changeant d’actionnaires, de nom, de lieu et surtout de stratégies. Nous avons alors décidé de revenir dans le centre-ville et de devenir véritablement acteur de notre territoire", explique Stéphane Perez, président d’Habside mais également de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI) de Provence.
Cet ancien hôtel a ainsi été totalement transformé, en lien avec les Architectes des Bâtiments de France. "Pour ce faire, nous avons fait appel à Tangram Architectes de nouveau, et avons réfléchi à de nouveaux concepts, permettant de prendre des décisions rapidement. Nous avons aussi pris la décision d’installer nos bureaux, tout comme Tangram, ainsi qu’un espace de coworking basé sur les métiers de la rénovation et la ville avec Cité Fab et le Fongecif. BAM est avant tout un lieu emblématique, atypique et innovant, où tout est possible, notamment sur le plan économique", souligne Stéphane Perez.
Ce lieu de 400 m² propose ainsi neuf espaces, nommés suivant différentes onomatopées (Flip, Flap, Tchin, Clic, Waow…), d’une superficie variant de 13 à 54 m², avec un jardin intérieur baptisé "Yeah" de 360 m². "Cette structure est conçue comme un lieu d’échange qui a pour vocation d’accueillir des événements professionnels très divers qui peuvent être parmi les plus fous", souligne Delphine Gineste. "D’autant que BAM est hyperconnecté avec des écrans tactiles et des paperboards interactifs, une salle de visioconférence permettant de se connecter avec 25 pays dans le monde…", met en avant Emilie Engel, responsable du développement du BAM, où travaillent d’ores et déjà 250 personnes chaque jour.
"Nous avons répondu et gagné un appel à projets avec l’ambition, à la base, de faire une auberge de jeunesse 2.0. Mais, quasiment dans le même temps, The Babel Community est sorti avec un concept novateur et un projet était envisagé aux abords de la Rue de la République pour faire… une auberge de jeunesse ! En interne, nous envisagions de redessiner notre société en changeant d’actionnaires, de nom, de lieu et surtout de stratégies. Nous avons alors décidé de revenir dans le centre-ville et de devenir véritablement acteur de notre territoire", explique Stéphane Perez, président d’Habside mais également de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI) de Provence.
Cet ancien hôtel a ainsi été totalement transformé, en lien avec les Architectes des Bâtiments de France. "Pour ce faire, nous avons fait appel à Tangram Architectes de nouveau, et avons réfléchi à de nouveaux concepts, permettant de prendre des décisions rapidement. Nous avons aussi pris la décision d’installer nos bureaux, tout comme Tangram, ainsi qu’un espace de coworking basé sur les métiers de la rénovation et la ville avec Cité Fab et le Fongecif. BAM est avant tout un lieu emblématique, atypique et innovant, où tout est possible, notamment sur le plan économique", souligne Stéphane Perez.
Ce lieu de 400 m² propose ainsi neuf espaces, nommés suivant différentes onomatopées (Flip, Flap, Tchin, Clic, Waow…), d’une superficie variant de 13 à 54 m², avec un jardin intérieur baptisé "Yeah" de 360 m². "Cette structure est conçue comme un lieu d’échange qui a pour vocation d’accueillir des événements professionnels très divers qui peuvent être parmi les plus fous", souligne Delphine Gineste. "D’autant que BAM est hyperconnecté avec des écrans tactiles et des paperboards interactifs, une salle de visioconférence permettant de se connecter avec 25 pays dans le monde…", met en avant Emilie Engel, responsable du développement du BAM, où travaillent d’ores et déjà 250 personnes chaque jour.
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