George W. Bush... Bush ?
C'est qui lui déjà, un terroriste ? euh !...
Un dictateur ? euh !...
Un Comédien ? hmmm...
Le plus grand clown des temps modernes ? Aaaah !
Alizoh8
Si Barack Obama entre à la Maison-Blanche le 4 novembre, il le devra pour une bonne part à l'aide - involontaire - que lui aura apportée George W. Bush. Après 8 années au pouvoir, le 43e président des USA achève son mandat en battant tous les records d'impopularité, avec 72 % d'opinions négatives dans les sondages. Seuls Harry Truman, en pleine guerre de Corée, et Richard Nixon, au moment de sa démission consécutive au scandale du Watergate, avaient atteint pareil niveau. Les historiens de la présidence n'ont aucun doute que W. prendra place dans la galerie des pires présidents américains.
La seule question dont ils débattent encore est de savoir s'il entrera dans l'Histoire comme quantité négligeable (à l'image de James Buchanan, dont la médiocrité avait contribué à précipiter le pays dans la guerre civile), ou comme catastrophe historique, faisant alors de lui le véritable héritier de Herbert Hoover dont les politiques ont précipité la Grande Dépression.
Un isolement international sans précédent.
L'unilatéralisme dont Bush a fait sa ligne directrice pour lancer la guerre d'Irak malgré l'opposition aux Nations Unies d'une majorité de ses alliés, partenaires et adversaires, a imposé aux Etats-Unis un isolement sans précédent. Il a alimenté une vague d'anti-américanisme virulent dans le monde entier.
Cet isolement a considérablement compliqué la tâche des Etats-Unis consistant à prendre la tête de la communauté internationale pour tenter de freiner la prolifération des armes nucléaires (surtout les efforts de l'Iran pour se doter de l'arme atomique), comme de pousser à un accord de paix au Proche-Orient entre Israël et les Palestiniens, dont l'administration Bush ne s'est vraiment préoccupé qu'en fin de parcours.
C'est qui lui déjà, un terroriste ? euh !...
Un dictateur ? euh !...
Un Comédien ? hmmm...
Le plus grand clown des temps modernes ? Aaaah !
Alizoh8
Si Barack Obama entre à la Maison-Blanche le 4 novembre, il le devra pour une bonne part à l'aide - involontaire - que lui aura apportée George W. Bush. Après 8 années au pouvoir, le 43e président des USA achève son mandat en battant tous les records d'impopularité, avec 72 % d'opinions négatives dans les sondages. Seuls Harry Truman, en pleine guerre de Corée, et Richard Nixon, au moment de sa démission consécutive au scandale du Watergate, avaient atteint pareil niveau. Les historiens de la présidence n'ont aucun doute que W. prendra place dans la galerie des pires présidents américains.
La seule question dont ils débattent encore est de savoir s'il entrera dans l'Histoire comme quantité négligeable (à l'image de James Buchanan, dont la médiocrité avait contribué à précipiter le pays dans la guerre civile), ou comme catastrophe historique, faisant alors de lui le véritable héritier de Herbert Hoover dont les politiques ont précipité la Grande Dépression.
Un isolement international sans précédent.
L'unilatéralisme dont Bush a fait sa ligne directrice pour lancer la guerre d'Irak malgré l'opposition aux Nations Unies d'une majorité de ses alliés, partenaires et adversaires, a imposé aux Etats-Unis un isolement sans précédent. Il a alimenté une vague d'anti-américanisme virulent dans le monde entier.
Cet isolement a considérablement compliqué la tâche des Etats-Unis consistant à prendre la tête de la communauté internationale pour tenter de freiner la prolifération des armes nucléaires (surtout les efforts de l'Iran pour se doter de l'arme atomique), comme de pousser à un accord de paix au Proche-Orient entre Israël et les Palestiniens, dont l'administration Bush ne s'est vraiment préoccupé qu'en fin de parcours.
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