• il y a 5 ans
« Quand on perd son père ou sa mère on est orpheline, quand on perd son conjoint on est veuve mais quand on perd son enfant, il n’y a plus de mots. »

À tout juste 30 ans, Amande perd son enfant. Pour se reconstruire, elle entreprend alors un parcours initiatique dans la Drôme, accompagnée de son ami réalisateur, Nans Thomassey. Ensemble, et sous l’œil de la caméra, ils partent à la rencontre d’hommes et de femmes qui ont, comme Amande, vécu la perte d’un enfant.

De cette quête de sens naît « Et je choisis de vivre », un film sur le deuil, à la fois sensible, émouvant et rempli d’espoir. A voir en salles le 5 juin prochain.

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