Régis Debray sur l'importance du poète Paul Valéry lors de son emprisonnement en Bolivie : "Ont remonté spontanément des vers appris à l'école."

Régis Debray : "La République est une forme française de la démocratie, fondée non pas sur bon Dieu mais sur la raison."

Régis Debray : "Notre-Dame de Paris nous rappelle l'épaisseur de notre Histoire

Régis Debray sur la suppression de l'ENA : "Tout dépend de ce qu'on mettra après."

Régis Debray donne un exemple de "mauvaise pensée" du poète Paul Valéry : "La faiblesse de la force est de ne croire qu’en la force, monsieur Castaner devrait méditer ce petit point."

Régis Debray répond aux questions de Nicolas Demorand

Paul Valéry avait prévu "l'extinction de la culture écrite", selon Régis Debray.

Régis Debray : "Je me demande si Emmanuel Macron ne veut pas racheter ce qu'il fait, ou plutôt ce qu'il ne fait pas, par ce qu'il dit"

Le philosophe et écrivain Régis Debray est l'invité de France Inter

Régis Debray : "Il faut toujours se comparer à plus grand que soi, et je comprends qu'on puisse éprouver de la solidarité pour un homme comme Lula qui a été victime d'une classe dominante impitoyable"

Régis Debray : "On dit que le vieux est sage, non, souvent il est con tout simplement."

Régis Debray : "Stendhal ça fait chic, Hugo ça fait péquenaud, c'est comme ça"

Régis Debray : "Il y a un sens épique chez Victor Hugo que nous avons un peu perdu, il nous rappelle qu'au-delà des individus il y a un horizon commun"

Régis Debray : "Nous avons une génération stendhalienne devant nous, et moi j'aimerais qu'on devienne un peu hugoliens"

Régis Debray : "Une révolution, c'est un projet moral et intellectuel, ce n'est pas une explosion de violence"

Régis Debray : "Les politiques ne font plus leur travail"

Le philosophe Régis Debray : "La vieillesse est un sauvetage, parce qu'on va à l'essentiel"

Régis Debray : " Le débat n'invente pas. Il rassure, il conforte, parfois il inquiète."

Régis Debray : "Quand on voit le bout du chemin, on a envie de se retourner, de se demander "à quoi j'ai servi", et de mettre sa petite mémoire personnelle en rapport avec l'histoire des autres, avec l'histoire tout court."

Régis Debray : "L'État a le monopole de la violence légitime, et c'est fondamental. Encore faut-il que la violence qu'il exerce ne soit pas celle de voyous. Sinon c'est l'État lui-même qui n'est pas légitime. Ce qu'il se passe est extrêmement grave."

Regis Debray : "La fonction présidentielle s'est privatisée comme les aéroports et les services publics"

Régis Debray : "Daniel Cordier est quelqu'un qui a toujours eu vingt ans, même quand il en avait cent. Ce sont les passionnés qui vivent, les raisonnables ne font que durer."

Régis Debray : "L'intellectuel ne travaille pas assez et fait trop de bruit"

Les Matins /Laïcité, blasphème : qu’a-t-on appris, un an après ?

Alpes: face aux fortes chutes de neige, la crainte d'une avalanche

Vent, neige, verglas... 7 départements placés en vigilance orange par Météo-France