Un lundi de Pâques mouvementé pour le collectif de la Voix des sans-papiers.
Ce lundi dans l'après-midi, les membres du collectif de la Voix des sans papiers ont été contraints de déménager du bâtiment qu'ils occupaient rue Vandenboogaerde à Molenbeek. Le bail d'occupation précaire prenait fin ce mardi 23. Il s'agit de leur 13ème déménagement. Ils se sont donc rendus à pied avec des sympathisants de différentes associations, jusqu'à la rue Joseph II dans un bâtiment inoccupé depuis plusieurs années. Celui-ci ne convenant pas pour y loger les familles avec enfants, les responsables du collectif, ont pris dès lors la décision de quitter les lieux pour ce rendre dans un autre bâtiment situé rue Vanderstichelen à Molenbeek. Malheureusement, ce nouveau bâtiment ne pouvant y loger tous les membres des VSP, les femmes et enfants ont passé la nuit dans le bâtiment qu'ils venaient de quitter, rue Vandenboogaerde. Dans la semaine, une tentative pour occuper un autre bâtiment abandonné, qui permettrait aux 90 membres du collectif, dont des femmes et des enfants, de vivre de manière plus décente a échoué. L'urgence se fait pressante. Le bâtiment qu'ils occupent n'a pas d'eau courante et les hommes doivent vivre dans un hangar.
Ce lundi dans l'après-midi, les membres du collectif de la Voix des sans papiers ont été contraints de déménager du bâtiment qu'ils occupaient rue Vandenboogaerde à Molenbeek. Le bail d'occupation précaire prenait fin ce mardi 23. Il s'agit de leur 13ème déménagement. Ils se sont donc rendus à pied avec des sympathisants de différentes associations, jusqu'à la rue Joseph II dans un bâtiment inoccupé depuis plusieurs années. Celui-ci ne convenant pas pour y loger les familles avec enfants, les responsables du collectif, ont pris dès lors la décision de quitter les lieux pour ce rendre dans un autre bâtiment situé rue Vanderstichelen à Molenbeek. Malheureusement, ce nouveau bâtiment ne pouvant y loger tous les membres des VSP, les femmes et enfants ont passé la nuit dans le bâtiment qu'ils venaient de quitter, rue Vandenboogaerde. Dans la semaine, une tentative pour occuper un autre bâtiment abandonné, qui permettrait aux 90 membres du collectif, dont des femmes et des enfants, de vivre de manière plus décente a échoué. L'urgence se fait pressante. Le bâtiment qu'ils occupent n'a pas d'eau courante et les hommes doivent vivre dans un hangar.
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