L'Orchestre Philharmonique de Radio France dirigé par Alan Gilbert interprète Musique pour cordes, percussion et célesta de Béla Bartók. Extrait du concert enregistré en direct le 16 Mars 2019 à l'Auditorium de la Maison de la Radio.
La musique pour cordes, percussion et célesta est créée le 21 janvier 1937 par l'Orchestre de Chambre de Bâle sur une commande de son chef Paul Sacher. C'est une dès œuvres les plus célèbres du compositeur hongrois, occupant une part toute particulière dans le répertoire de par sa nomenclature : double quintette à cordes, des percussions dont un piano, une harpe et un célesta. Dans les différents mouvements, Bartók déploie une vaste palette de timbres, tirant les spécificités de chaque section d'instruments, notamment celles du célesta et sa sonorité cristalline.
L'oeuvre est structurée en quatre mouvements : le premier, Andante tranquillo, est une fugue lente et progressive, devenant de plus en plus intense en volume jusqu'au climax. Le thème de la fugue sert de matériau pour les mouvements suivants. Le second mouvement, Allegro, vif et brutal, offre un contraste saisissant avec le premier mouvement, par les nombreux accents rythmiques et le piano syncopé. Le troisième mouvement Adagio est une musique nocturne, où tout le mystère du célesta s'exprime, nous offrant une scène d'anthologie dans Shining de Stanley Kubrick, celle où Danny, déambulant dans le labyrinthe de l'hôtel, aperçoit une vision de sœurs jumelles décédées en ces lieux. Le quatrième mouvement Allegro molto a le caractère d'une danse folklorique hongroise, très rythmé.
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La musique pour cordes, percussion et célesta est créée le 21 janvier 1937 par l'Orchestre de Chambre de Bâle sur une commande de son chef Paul Sacher. C'est une dès œuvres les plus célèbres du compositeur hongrois, occupant une part toute particulière dans le répertoire de par sa nomenclature : double quintette à cordes, des percussions dont un piano, une harpe et un célesta. Dans les différents mouvements, Bartók déploie une vaste palette de timbres, tirant les spécificités de chaque section d'instruments, notamment celles du célesta et sa sonorité cristalline.
L'oeuvre est structurée en quatre mouvements : le premier, Andante tranquillo, est une fugue lente et progressive, devenant de plus en plus intense en volume jusqu'au climax. Le thème de la fugue sert de matériau pour les mouvements suivants. Le second mouvement, Allegro, vif et brutal, offre un contraste saisissant avec le premier mouvement, par les nombreux accents rythmiques et le piano syncopé. Le troisième mouvement Adagio est une musique nocturne, où tout le mystère du célesta s'exprime, nous offrant une scène d'anthologie dans Shining de Stanley Kubrick, celle où Danny, déambulant dans le labyrinthe de l'hôtel, aperçoit une vision de sœurs jumelles décédées en ces lieux. Le quatrième mouvement Allegro molto a le caractère d'une danse folklorique hongroise, très rythmé.
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