L’ex-mannequin Imane Fadil, qui devait témoigner contre Silvio Berlusconi dans le procès des soirées « bunga bunga », est décédée le 1er mars, dans des circonstances qui restent à éclaircir. Selon la presse italienne, elle pourrait avoir été empoisonnée. Le parquet n’écarte, lui, aucune hypothèse.
Cette ancienne mannequin d’origine marocaine était devenue un témoin clé contre l’ex-président du Conseil italien et homme d’affaires Silvio Berlusconi, dans le cadre des procès sur ses soirées « bunga-bunga », ces fêtes dépeintes comme orgiaques. Admise le 29 janvier à l’hôpital Humanitas de Milan, en Italie, pour des douleurs au ventre, Imane Fadil y est décédée le 1er mars.
L’hôpital, qui n’avait pas trouvé la cause de la détérioration de sa santé, avait fait appel à un laboratoire à Pavie, dans le nord du pays. Mais elle est morte cinq jours avant que les résultats de ses analyses ne parviennent aux médecins. Le décès d’Imane Fadil n’a été rendu public que vendredi 15 mars.
Cette ancienne mannequin d’origine marocaine était devenue un témoin clé contre l’ex-président du Conseil italien et homme d’affaires Silvio Berlusconi, dans le cadre des procès sur ses soirées « bunga-bunga », ces fêtes dépeintes comme orgiaques. Admise le 29 janvier à l’hôpital Humanitas de Milan, en Italie, pour des douleurs au ventre, Imane Fadil y est décédée le 1er mars.
L’hôpital, qui n’avait pas trouvé la cause de la détérioration de sa santé, avait fait appel à un laboratoire à Pavie, dans le nord du pays. Mais elle est morte cinq jours avant que les résultats de ses analyses ne parviennent aux médecins. Le décès d’Imane Fadil n’a été rendu public que vendredi 15 mars.
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