Drôle de siècle / Ludovic Kerzic
Paroles : Alain Guerin.
Musique : Ludovic Kerzic.
Créée en 2009, cette chanson se trouve être malheureusement, de plus en plus d'actualité. Pendant que le peuple Français proteste contre une transition écologique qu'il considère punitive, il découvre par la même occasion ce qu'endure les SDF, la nuit, l'hiver, dans le froid, dehors. Les SDF Français sont les oubliés de la France. Souvent, ces personnes tombent bas à la suite d'accumulation malheureuses et vicieuses, qu'ils ne méritaient certainement pas. Qui peut bien mériter de dormir dehors, de mourir de faim, de sentir obligé de tendre la main, à bout de courage, de fatigue et d'avoir honte de soi, tout au fond de son âme. C'est un drôle de siècle effectivement. Comme disait Coluche, comment peut-on laisser mourir de faim, de soif, de froid des gens dehors, dans la rue, dans le pays de la bouffe ? Dans le pays des Droits de l'homme ? Le monde se meurent par la responsabilité d'hommes et de femmes qui s'entêtent de penser qu'ils font le bien sans savoir ce que peut vivre, ce qu'endure un pauvre, un ouvrier, un étudiant, une personne de classe. La réalité, la vérité est tellement dure à accepter, la mission est tellement lourde à supporter, qu'ils préfèrent faire semblant d'entendre, de voir ou même s'aveugler pour ne ressentir aucune culpabilité. Vivant à l'aise, ils démontrent par leur manière d'être une forme de mépris, de lâcheté, d'égoïsme et parfois même de grossièreté à l'égard des pauvres gens qui savent le sens d'un simple mot qu'ils ignorent : le " RESPECT ".
Musique : Ludovic Kerzic.
Créée en 2009, cette chanson se trouve être malheureusement, de plus en plus d'actualité. Pendant que le peuple Français proteste contre une transition écologique qu'il considère punitive, il découvre par la même occasion ce qu'endure les SDF, la nuit, l'hiver, dans le froid, dehors. Les SDF Français sont les oubliés de la France. Souvent, ces personnes tombent bas à la suite d'accumulation malheureuses et vicieuses, qu'ils ne méritaient certainement pas. Qui peut bien mériter de dormir dehors, de mourir de faim, de sentir obligé de tendre la main, à bout de courage, de fatigue et d'avoir honte de soi, tout au fond de son âme. C'est un drôle de siècle effectivement. Comme disait Coluche, comment peut-on laisser mourir de faim, de soif, de froid des gens dehors, dans la rue, dans le pays de la bouffe ? Dans le pays des Droits de l'homme ? Le monde se meurent par la responsabilité d'hommes et de femmes qui s'entêtent de penser qu'ils font le bien sans savoir ce que peut vivre, ce qu'endure un pauvre, un ouvrier, un étudiant, une personne de classe. La réalité, la vérité est tellement dure à accepter, la mission est tellement lourde à supporter, qu'ils préfèrent faire semblant d'entendre, de voir ou même s'aveugler pour ne ressentir aucune culpabilité. Vivant à l'aise, ils démontrent par leur manière d'être une forme de mépris, de lâcheté, d'égoïsme et parfois même de grossièreté à l'égard des pauvres gens qui savent le sens d'un simple mot qu'ils ignorent : le " RESPECT ".
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