Attaque terroriste de Condé-sur-Sarthe : appels à des blocages dans les prisons mercredi
- il y a 5 ans
Des syndicats de surveillants de prison appellent au blocage des établissements pénitentiaires dès mercredi 6 mars, en soutien aux deux agents poignardés mardi par un détenu radicalisé de la maison centrale de Condé-sur-Sarthe, près d’Alençon (Orne).
« Dès demain (mercredi), on appelle à bloquer tous les établissements et on repart sur nos plateformes revendicatives », à la fois sur la sécurité des personnels et sur une évolution statutaire, a indiqué à l’Agence France Presse Emmanuel Baudin, secrétaire général de FO-Pénitentiaire, premier syndicat chez les surveillants de prison.
Un mouvement lancé après l’agression de deux surveillants par un détenu radicalisé, ce mardi 5 mars, au centre pénitentiaire d’Alençon-Condé-sur-Sarthe. Un acte qualifié de « terroriste » par le ministre de la Justice Nicole Belloubet.
La CGT-Pénitentiaire appelle également « à des actions partout sur le territoire, qui iront jusqu’au blocage sur pas mal d’établissements », a déclaré son secrétaire général Christopher Dorangeville. Pour la CGT, l’attaque de Condé-sur-Sarthe, qualifiée de « terroriste » par la garde des Sceaux Nicole Belloubet, « rappelle très fortement les événements de janvier 2018 ».
« Dès demain (mercredi), on appelle à bloquer tous les établissements et on repart sur nos plateformes revendicatives », à la fois sur la sécurité des personnels et sur une évolution statutaire, a indiqué à l’Agence France Presse Emmanuel Baudin, secrétaire général de FO-Pénitentiaire, premier syndicat chez les surveillants de prison.
Un mouvement lancé après l’agression de deux surveillants par un détenu radicalisé, ce mardi 5 mars, au centre pénitentiaire d’Alençon-Condé-sur-Sarthe. Un acte qualifié de « terroriste » par le ministre de la Justice Nicole Belloubet.
La CGT-Pénitentiaire appelle également « à des actions partout sur le territoire, qui iront jusqu’au blocage sur pas mal d’établissements », a déclaré son secrétaire général Christopher Dorangeville. Pour la CGT, l’attaque de Condé-sur-Sarthe, qualifiée de « terroriste » par la garde des Sceaux Nicole Belloubet, « rappelle très fortement les événements de janvier 2018 ».