Jean Marc Reiser, principal suspect dans l'affaire Sophie Le Tan, demande sa remise en liberté. Une demande examinée à 10h30 par la cour d'appel de Colmar.
Sur les réseaux sociaux, le collectif de soutien à la famille de Sophie Le Tan appelle à une mobilisation devant la cour d'appel de Colmar.
Sa demande de remise en liberté sera examinée par la cour d'appel de Colmar, en présence du principal suspect et de la famille de Sophie Le Tan, accompagnés de leurs avocats.
Sophie Le Tan, étudiante de 20 ans, n'a pas donné signe de vie depuis le 7 septembre dernier.
Ce jour-là, elle avait indiqué à ses proches qu'elle allait visiter un appartement dans la banlieue de Strasbourg. La jeune femme avait répondu à une annonce postée sur internet par Jean Marc Reiser. Huit jours plus tard, l'homme de 58 ans était interpellé.
Quelques semaines après sa mise en examen pour «assassinat, enlèvement et séquestration», il avait changé de version quelques semaines plus tard.
Devant le juge d'instruction, l’homme avait reconnu avoir croisé l'étudiante le jour de sa disparition. Jean-Marc Reiser avait alors raconté qu'elle s'était blessée à la main et qu'il l'avait fait monter chez elle pour la soigner.
Les enquêteurs avaient retrouvé du sang appartenant à Sophie Le Tan dans l’appartement du suspect. Interrogé pendant sa garde à vue, Jean Marc Reiser avait toutefois expliqué dans un premier temps ne pas connaître la jeune fille.
Sur les réseaux sociaux, le collectif de soutien à la famille de Sophie Le Tan appelle à une mobilisation devant la cour d'appel de Colmar.
Sa demande de remise en liberté sera examinée par la cour d'appel de Colmar, en présence du principal suspect et de la famille de Sophie Le Tan, accompagnés de leurs avocats.
Sophie Le Tan, étudiante de 20 ans, n'a pas donné signe de vie depuis le 7 septembre dernier.
Ce jour-là, elle avait indiqué à ses proches qu'elle allait visiter un appartement dans la banlieue de Strasbourg. La jeune femme avait répondu à une annonce postée sur internet par Jean Marc Reiser. Huit jours plus tard, l'homme de 58 ans était interpellé.
Quelques semaines après sa mise en examen pour «assassinat, enlèvement et séquestration», il avait changé de version quelques semaines plus tard.
Devant le juge d'instruction, l’homme avait reconnu avoir croisé l'étudiante le jour de sa disparition. Jean-Marc Reiser avait alors raconté qu'elle s'était blessée à la main et qu'il l'avait fait monter chez elle pour la soigner.
Les enquêteurs avaient retrouvé du sang appartenant à Sophie Le Tan dans l’appartement du suspect. Interrogé pendant sa garde à vue, Jean Marc Reiser avait toutefois expliqué dans un premier temps ne pas connaître la jeune fille.
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