Extrait de l'émission CASH INVESTIGATIONS, diffusée sur France2, mardi 5 février 2019, consacrée à la "Pêche industrielle : gros poissons en eaux troubles". Cet extrait traite des prises accessoires des thonniers senneurs français de l'Océan Indien.
Malgré la menace bien réelle que cette industrie fait peser sur la survie d'espèces de requins pélagiques, parmi lesquelles les requins soyeux, le représentant du collectif d'associations environnementales, majoritairement métropolitaines, Jean Bernard GALVES, fait preuve d'un mutisme, qui interpelle. Pourtant, il s'agit de "massacres", bien réels, contrairement à ceux qu'ils dénoncent régulièrement dans des tribunes, relevant davantage du fantasme, désormais ignorées des médias, celles-ci faisant une part trop belle à la désinformation, ce qui a également eu pour conséquence de le discréditer définitivement auprès des autorités et des collectivités locales en charge de la gestion de la #CriseRequin.
Certains armateurs comme la SAPMER, citée dans le reportage, ont pourtant leur siège social et des points de vente à la Réunion.
La page contre la pêche, dont Jean Bernard GALVES est l'un des administrateurs, avec Sophie Paloum DUGUE, préfère focaliser sa haine sur les victimes des attaques de requins à la Réunion (ainsi que leurs proches), ainsi qu'à l'encontre de la pêche de prévention des requins côtiers dangereux (non menacés, non protégés), gérée par le CRA et pratiquée de façon artisanale, en toute transparence et surtout très encadrée, avec une moyenne de 80 requins dangereux/an (soit l'équivalent d'une portée d'un seul requin tigre).
Lien vers l'émission : https://www.youtube.com/watch?v=GRvNZ5OqQac&t=28m48s
Malgré la menace bien réelle que cette industrie fait peser sur la survie d'espèces de requins pélagiques, parmi lesquelles les requins soyeux, le représentant du collectif d'associations environnementales, majoritairement métropolitaines, Jean Bernard GALVES, fait preuve d'un mutisme, qui interpelle. Pourtant, il s'agit de "massacres", bien réels, contrairement à ceux qu'ils dénoncent régulièrement dans des tribunes, relevant davantage du fantasme, désormais ignorées des médias, celles-ci faisant une part trop belle à la désinformation, ce qui a également eu pour conséquence de le discréditer définitivement auprès des autorités et des collectivités locales en charge de la gestion de la #CriseRequin.
Certains armateurs comme la SAPMER, citée dans le reportage, ont pourtant leur siège social et des points de vente à la Réunion.
La page contre la pêche, dont Jean Bernard GALVES est l'un des administrateurs, avec Sophie Paloum DUGUE, préfère focaliser sa haine sur les victimes des attaques de requins à la Réunion (ainsi que leurs proches), ainsi qu'à l'encontre de la pêche de prévention des requins côtiers dangereux (non menacés, non protégés), gérée par le CRA et pratiquée de façon artisanale, en toute transparence et surtout très encadrée, avec une moyenne de 80 requins dangereux/an (soit l'équivalent d'une portée d'un seul requin tigre).
Lien vers l'émission : https://www.youtube.com/watch?v=GRvNZ5OqQac&t=28m48s
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