EXO
Réalisation du film de la performance qui clôture le Festival Les Musiques 2018 à Marseille
Organisé par le GMEM – Centre National de Création Musicale de Marseille, « EXO » est oeuvre visuelle et musicale immersive présentée en plein air de 22h à 2h du matin sur le toit terrasse de la Friche la Belle de Mai.
Le public, la tête dans les étoiles, est invité à venir contempler, admirer, découvrir une série d’objets célestes, d’étoiles, de planètes, de trous noirs, pointés par les faisceaux lumineux de l’artiste plasticienne Félicie d’Estienne d’Orves et orchestrés par la compositrice Julie Rousse.
Sur l’horizon dégagé au dessus de la ville, les lignes des lasers constituent un pont visuel entre le sol et l’espace du ciel.
Environ 200 objets célestes visibles à l’œil nu ou du ciel profond sont montrés au public à partir de lasers pointés dans le ciel.
Pendant 4 heures consécutives, cette installation sonore et visuelle conduit le public dans la profondeur du ciel.
Telle la tête de lecture d’un disque, les tracés lumineux lisent la carte du ciel et traduisent des données astrophysiques en son. Relevant d’une archéologie spatio-temporelle, les lasers remonteront le temps pointant des astres proches comme des objets du “ciel profond” dont le lumière a parfois été émise il y a plus de 13 milliards d’années.
Respectivement plasticienne et musicienne, Félicie d’Estienne d’Orves et Julie Rousse, sondent l’espace dans le cadre d’installations et de performances. L’une capte par “field recording” des paysages sonores, l’autre utilise la lumière pour appréhender d’autres espaces-temps.
Réalisation du film de la performance qui clôture le Festival Les Musiques 2018 à Marseille
Organisé par le GMEM – Centre National de Création Musicale de Marseille, « EXO » est oeuvre visuelle et musicale immersive présentée en plein air de 22h à 2h du matin sur le toit terrasse de la Friche la Belle de Mai.
Le public, la tête dans les étoiles, est invité à venir contempler, admirer, découvrir une série d’objets célestes, d’étoiles, de planètes, de trous noirs, pointés par les faisceaux lumineux de l’artiste plasticienne Félicie d’Estienne d’Orves et orchestrés par la compositrice Julie Rousse.
Sur l’horizon dégagé au dessus de la ville, les lignes des lasers constituent un pont visuel entre le sol et l’espace du ciel.
Environ 200 objets célestes visibles à l’œil nu ou du ciel profond sont montrés au public à partir de lasers pointés dans le ciel.
Pendant 4 heures consécutives, cette installation sonore et visuelle conduit le public dans la profondeur du ciel.
Telle la tête de lecture d’un disque, les tracés lumineux lisent la carte du ciel et traduisent des données astrophysiques en son. Relevant d’une archéologie spatio-temporelle, les lasers remonteront le temps pointant des astres proches comme des objets du “ciel profond” dont le lumière a parfois été émise il y a plus de 13 milliards d’années.
Respectivement plasticienne et musicienne, Félicie d’Estienne d’Orves et Julie Rousse, sondent l’espace dans le cadre d’installations et de performances. L’une capte par “field recording” des paysages sonores, l’autre utilise la lumière pour appréhender d’autres espaces-temps.
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Art et design