LE KIDNAPING : LE BUSINESS LE PLUS SECRET (Partie 1)

  • il y a 16 ans
Les Cabindais ont souvent usé du kidnaping (qui est une sorte d'arme pour les faibles et de la violence thérapeutique)pour se faire entendre et attirer l'attention sur leur revendication légitime à l'indépendance. Mais leurs soit-disant dirigeants ont toujours mal géré les actions de prises d'otages qui se sont chaque fois terminées par la perception des millions de dollars. A l'instar du responsable du FLEC Rénové, Antonio BENTO BEMBE, qui avait perçu 1.000.000 de dollars par l'entremise du gouvernement du Gabon, en vue de la libération des deux otages français de la société Bouigues et aussi une villa et une bourse d'études au Portugal, pour son fils, après la libération des deux otages portugais. Actuellement, Antonio BENTO BEMBE, recherché par Interpol pour l'enlèvement et séquestration d'un américain au Cabinda en 1990, s'est rendu aux autorités angolaises avec son grand complice Mauricio ZULU, pour occuper le poste de ministre sans portefeuille.