• il y a 6 ans
Un test génétique permet de savoir si un embryon obtenu par fécondation in vitro risque d’être atteint de maladies et d’évaluer son QI potentiel. 

Le test en question évaluera notamment les risques qu’un embryon présente un « faible niveau d’intelligence ».

L’entreprise assure s’intéresser uniquement aux cas représentant « un handicap mental », mais n’exclue pas d’employer cette techniques à d’autres fins.

La société Genomic Prediction serait actuellement en discussion avec plusieurs cliniques du pays pratiquant la procréation médicalement assistée.

C’est principalement le test portant sur les déficiences mentales qui suscite la controverse outre-atlantique, ce pour des raisons éthiques évidentes.

Celui-ci permettrait en théorie aux parents d’éviter les embryons les plus susceptibles de développer un important retard mental.

Il est facile d’imaginer que de futurs enfants puissent être sélectionnés en fonction de critères similaires dans les décennies à venir.

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