En Vendée, François de Rugy fait face aux gilets jaunes.
- il y a 6 ans
En Vendée, François de Rugy fait face aux gilets jaunes.
Lundi 12 novembre, le ministre de la Transition écologique s’est déplacé en Vendée. Une trentaine de gilets jaunes l’ont interpellé à La Roche-sur-Yon. Il a promis des annonces pour la fin de semaine.
À La Roche-sur-Yon, François de Rugy a été interpellé par une trentaine de gilets jaunes, lundi 12 novembre, dans le cadre d’un déplacement sur le thème du développement durable. Un dialogue de sourd s’est instauré.
Lundi 12 novembre, le ministre de la Transition écologique s’est déplacé en Vendée. Une trentaine de gilets jaunes l’ont interpellé à La Roche-sur-Yon. Il a promis des annonces pour la fin de semaine.
À La Roche-sur-Yon, François de Rugy a été interpellé par une trentaine de gilets jaunes, lundi 12 novembre, dans le cadre d’un déplacement sur le thème du développement durable. Un dialogue de sourd s’est instauré.
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« Je ne survis même pas »
Une dame, agent administratif, interpelle le ministre : « Les vacances, on ne peut plus, les loisirs des enfants non plus. On est pris à la gorge. On nous a écrasés, pulvérisés. Je vous dis droit dans les yeux : je ne survis même pas. Est-ce que c’est normal, en 2018 ? ».
François de Rugy a par la suite développé devant les micros des journalistes ses positions. « Nous avons un certain nombre de dispositifs, nous travaillons à leur amélioration de sorte à ce que ça touche davantage de monde. Nous sommes en train de chiffrer tout cela car les nouvelles mesures coûtent aussi de l’argent. » Et d’annoncer qu’en fin de semaine « des propositions concrètes qui pourront entrer en application rapidement » seront faites.
Le ministre a ensuite ajouté que « tout changement est difficile, tout changement demande un effort mais ensuite on est récompensés de ses efforts ».
Samedi 17 novembre, des blocages pour protester, notamment contre la hausse du carburant, sont annoncés partout en France.
Lundi 12 novembre, le ministre de la Transition écologique s’est déplacé en Vendée. Une trentaine de gilets jaunes l’ont interpellé à La Roche-sur-Yon. Il a promis des annonces pour la fin de semaine.
À La Roche-sur-Yon, François de Rugy a été interpellé par une trentaine de gilets jaunes, lundi 12 novembre, dans le cadre d’un déplacement sur le thème du développement durable. Un dialogue de sourd s’est instauré.
Lundi 12 novembre, le ministre de la Transition écologique s’est déplacé en Vendée. Une trentaine de gilets jaunes l’ont interpellé à La Roche-sur-Yon. Il a promis des annonces pour la fin de semaine.
À La Roche-sur-Yon, François de Rugy a été interpellé par une trentaine de gilets jaunes, lundi 12 novembre, dans le cadre d’un déplacement sur le thème du développement durable. Un dialogue de sourd s’est instauré.
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« Je ne survis même pas »
Une dame, agent administratif, interpelle le ministre : « Les vacances, on ne peut plus, les loisirs des enfants non plus. On est pris à la gorge. On nous a écrasés, pulvérisés. Je vous dis droit dans les yeux : je ne survis même pas. Est-ce que c’est normal, en 2018 ? ».
François de Rugy a par la suite développé devant les micros des journalistes ses positions. « Nous avons un certain nombre de dispositifs, nous travaillons à leur amélioration de sorte à ce que ça touche davantage de monde. Nous sommes en train de chiffrer tout cela car les nouvelles mesures coûtent aussi de l’argent. » Et d’annoncer qu’en fin de semaine « des propositions concrètes qui pourront entrer en application rapidement » seront faites.
Le ministre a ensuite ajouté que « tout changement est difficile, tout changement demande un effort mais ensuite on est récompensés de ses efforts ».
Samedi 17 novembre, des blocages pour protester, notamment contre la hausse du carburant, sont annoncés partout en France.