Les supervolcans figurent parmi les plus grandes menaces naturelles pour l’humanité selon la NASA.
Tous les 600 000 ans environ, la caldeira de Yellowstone entre en éruption.
La prochaine éruption, qui pourrait anéantir l’humanité toute entière, serait pour bientôt selon les scientifiques.
Mesurant environ 85 kilomètres de longueur pour 45 de large, ce dernier abrite en effet une gigantesque chambre magmatique.
Selon les estimations de l’ONU, cela marquerait le début d’un terrible hiver volcanique et provoquerait une famine mondiale.
Afin d’éviter qu’un tel scénario ne se produise, la NASAétudie très sérieusement la possibilité de refroidir le supervolcan de Yellowstone.
La construction d’un grand aqueduc dans la région de Yellowstone représenterait la solution la plus logique pour assurer le refroidissement du supervolcan.
Mais les coûts seraient faramineux et l’opinion publique verrait d’un mauvais œil le fait que de telles quantités d’eau, dont nous manquons de plus en plus.
Les chercheurs disposent d’une solution alternative, consistant à réaliser un forage de 10 km de profondeur, afin de le refroidir lentement en pompant de l’eau.
Tous les 600 000 ans environ, la caldeira de Yellowstone entre en éruption.
La prochaine éruption, qui pourrait anéantir l’humanité toute entière, serait pour bientôt selon les scientifiques.
Mesurant environ 85 kilomètres de longueur pour 45 de large, ce dernier abrite en effet une gigantesque chambre magmatique.
Selon les estimations de l’ONU, cela marquerait le début d’un terrible hiver volcanique et provoquerait une famine mondiale.
Afin d’éviter qu’un tel scénario ne se produise, la NASAétudie très sérieusement la possibilité de refroidir le supervolcan de Yellowstone.
La construction d’un grand aqueduc dans la région de Yellowstone représenterait la solution la plus logique pour assurer le refroidissement du supervolcan.
Mais les coûts seraient faramineux et l’opinion publique verrait d’un mauvais œil le fait que de telles quantités d’eau, dont nous manquons de plus en plus.
Les chercheurs disposent d’une solution alternative, consistant à réaliser un forage de 10 km de profondeur, afin de le refroidir lentement en pompant de l’eau.
Category
🗞
News