Double jeux – Au cœur des Worlds, le documentaire Canal+ sur la finale des championnats du monde de League of Legends
Dans ce film réalisé par Cédric Leprettre, nous suivons l’épopée de Fabien Devide et Arnaud Assoumani à Pékin. Le premier est le président de la structure Vitality, le second a été champion paralympique de saut en longueur en 2008. Les deux hommes assistent à la finale des championnats du monde de LoL dans le stade mythique du Nid d’Oiseau.
Comme attendu, le documentaire propose une vision croisée de deux univers : le sport et l’esport. Tandis qu’Arnaud se remémore sa finale gagnée dans le stade pékinois, Fabien constate avec émotion combien le sport électronique a gagné en envergure.
Le film met en lumière les similarités entre les deux disciplines : alimentation, rigueur, recherche de la performance… Le résultat final est bien équilibré et est ponctué de passages moins sérieux qui détendent l’atmosphère.
Certes, le tic de langage d’Arnaud Assoumani consistant à dire « le esport » écorche un peu les oreilles. Mais une fois ce détail mis à part, Double jeux remplit plutôt bien son contrat. On regrettera simplement que la finale des Worlds ait été à ce point à sens unique. Le 3-0 infligé par Samsung nuit en effet au rythme du film et nous laisse un peu sur notre faim. La prochaine fois, on demandera à Faker de jouer un peu mieux !
Dans ce film réalisé par Cédric Leprettre, nous suivons l’épopée de Fabien Devide et Arnaud Assoumani à Pékin. Le premier est le président de la structure Vitality, le second a été champion paralympique de saut en longueur en 2008. Les deux hommes assistent à la finale des championnats du monde de LoL dans le stade mythique du Nid d’Oiseau.
Comme attendu, le documentaire propose une vision croisée de deux univers : le sport et l’esport. Tandis qu’Arnaud se remémore sa finale gagnée dans le stade pékinois, Fabien constate avec émotion combien le sport électronique a gagné en envergure.
Le film met en lumière les similarités entre les deux disciplines : alimentation, rigueur, recherche de la performance… Le résultat final est bien équilibré et est ponctué de passages moins sérieux qui détendent l’atmosphère.
Certes, le tic de langage d’Arnaud Assoumani consistant à dire « le esport » écorche un peu les oreilles. Mais une fois ce détail mis à part, Double jeux remplit plutôt bien son contrat. On regrettera simplement que la finale des Worlds ait été à ce point à sens unique. Le 3-0 infligé par Samsung nuit en effet au rythme du film et nous laisse un peu sur notre faim. La prochaine fois, on demandera à Faker de jouer un peu mieux !
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