ACCORDS BIDON ANGOLA ET DES TRAITRES DU CABINDA Partie 2

  • il y a 16 ans
En 2006, un groupe de traîtres cabindais dirigé par Antonio Bento Bembe et Mauricio Zulu (tous deux fichés et recherchés par Interpol pour avoir, en 1990, enlevé et séquestré un américain nommé Brent Swan dans la forêt cabindaise), se sont livrés aux autorités angolaises, en trahissant la légitime lutte du peuple qui demande l'indépendance. L'ensemble a obtenu une insertion dans la vie professionnelle comme promis par les autorités angolaises dans le mémorandum d'entente qui a été signé, et qui s'avère n'être qu'un marché de dupes au détriment du Cabinda. Pour preuve, nonobstant l'amnistie accordée par le pouvoir angolais à cette bande de félons, le cas de Artur Tchibassa n'a même pas été évoqué. Ce Cabindais pourtant innocent mais accusé d'avoir participé à cet enlèvement, avait été arrêté le 11 juillet 2002 par des agents du FBI à Kinshasa, en collaboration avec les services de renseignements congolais et angolais. Il a été envoyé aux Etats unis D'Amérique et incarcéré dans une prison de très haute sécurité. D'ailleurs cette situation est bien connu de Condolezza Rice, à l'époque Secrétaire d'Etat pour la Sécurité, puisqu'elle fut directrice de Chevron avant d'intégrer le gouvernement Bush. Deux ans après ces accords, la situation est pire au Cabinda dont le taux de mortalité est le plus élevé d'Afrique, ce qui constitue bel et bien un génocide en douceur. Heureusement que la lutte continue grâce à la détermination du peuple et du FLEC-FAC dont le président est Heniques Nzita Tiago (à ne pas confondre avec le faux président escroc mythomane Antonio Lopes qui a un site internet pour vendre des faux papiers aux réfugiés économiques de tous pays). D'ailleurs, les Cabindais n'ont pas pris part aux votes qui concernent les envahisseurs angolais. Les seuls votants sont les 40.000 soldats angolais présents sur le territoire cabindais.

Recommandée