RLHD.TV vous donne rendez-vous avec la réalisatrice Catalina Mesa pour son film JERICÓ. Sortie le 20 juin.
Le premier film de Catalina Mesa est un petit bijou de joie. (même si celui-ci est emprunte de gravité). L'un ne va pas sans l'autre. JERICÓ est un documentaire qui a la luminosité des âmes filmées. Un rayonnement dût au soleil, personnage sinon principal, au moins central. Une clarté également dépeinte d'une façon juste et picturale par les intervenantes, ces femmes de tout âges qui ouvrent grandes leurs portes comme d'autres les referment sur leurs vies. La parole est libre, libres penseuses qui abordent l'amour et la sexualité tout comme la maternité.
Est-ce JERICÓ qui veut cela. Ville de "mots" où les poètes se lovent entre les paroles des femmes, dans l'égalité du verbe ? Certainement.
Tout comme le filmage et le montage, proche d'un acte chorégraphique. Lorsque, comme Catalina Mesa on a été danseuse (peut-être monte-t-elle encore sur les planches ?), peut-on monter un film sans penser à l'accomplissement gestuelle comme rhétorique ? Le film est une surprise que mérite que l'on s'arrête à chaque plan, comme autant d’œuvres. Les personnages nourrissent les lieux et les lieux deviennent cadre de vie. Un beau film qui a le très grand mérite de vivre dans le respect d'autrui.
Le premier film de Catalina Mesa est un petit bijou de joie. (même si celui-ci est emprunte de gravité). L'un ne va pas sans l'autre. JERICÓ est un documentaire qui a la luminosité des âmes filmées. Un rayonnement dût au soleil, personnage sinon principal, au moins central. Une clarté également dépeinte d'une façon juste et picturale par les intervenantes, ces femmes de tout âges qui ouvrent grandes leurs portes comme d'autres les referment sur leurs vies. La parole est libre, libres penseuses qui abordent l'amour et la sexualité tout comme la maternité.
Est-ce JERICÓ qui veut cela. Ville de "mots" où les poètes se lovent entre les paroles des femmes, dans l'égalité du verbe ? Certainement.
Tout comme le filmage et le montage, proche d'un acte chorégraphique. Lorsque, comme Catalina Mesa on a été danseuse (peut-être monte-t-elle encore sur les planches ?), peut-on monter un film sans penser à l'accomplissement gestuelle comme rhétorique ? Le film est une surprise que mérite que l'on s'arrête à chaque plan, comme autant d’œuvres. Les personnages nourrissent les lieux et les lieux deviennent cadre de vie. Un beau film qui a le très grand mérite de vivre dans le respect d'autrui.
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Court métrage