seul face au tigre
- il y a 6 ans
Premier contact au pays des springboks : viril !
La première plongée du séjour a lieu dans la région de Durban. Nous embarquons dans la petite ville d'Umkomaas, d'où un bateau nous conduit sur le récif d'Aliwal shoal, où rôdent toujours plusieurs espèces de requins.
Je m'en rends compte avant même la mise à l'eau, puisque des ailerons dépassent de la surface de l'eau…
Pas vraiment un baptême, plutôt un baptême du feu !
Ce qui se confirme une fois dans l'eau : attirés par les sardines que notre guide Walter répand en petits morceaux près de nous, les requins bordés tournent sans relâche autour de la nourriture
Certains nous frôlent de quelques centimètres !
Inutile de vous faire un dessin : le requin tigre qui se mêle ici aux requins bordés est aisément reconnaissable, malgré une eau chargée en particules.
C'est juste...impressionnant, immense ! Nos moniteurs estiment qu'il s'agit d'une femelle d'environ vingt cinq ans, mesurant près de quatre mètres ! Les zébrures sur le dos, le corps massif, impossible de le confondre avec le longiligne requin bordé, également reconnaissable à son nez pointu.
Autre différence « de taille », le bordé ne présente guère de danger pour l'homme, alors que le tigre si ! Comme on l'apprend dans ce livre : les caractéristiques morphologiques et alimentaires du requin-tigre le classe automatiquement dans la catégorie des requins potentiellement dangereux pour l'homme.
Pour m'être retrouvé « nez à nez » avec ce géant des mers, je confirme ce qui est écrit : "il nage lentement la plupart du temps, mais reste totalement imprévisible et peut parfois accélérer, se tourner ou changer soudainement de comportement".
Avec moi, il a changé de direction…Je venais juste de mettre en marche ma caméra, le tigre me paraissait loin, mais un brusque virage à gauche le propulse dans ma direction…Je dois mon salut aux deux moniteurs, qui appliquèrent les conseils du livre précité : "lors d’une plongée sous stimulation alimentaire, au cas où le requin viendrait au contact, le réorienter en positionnant sa main sur le dessus de sa tête et en l’écartant vivement (mais gentiment) vers l’extérieur".
C’était chaud ! Il avait suffi que je descende sans m’en rendre compte deux-trois mètres plus bas que les autres plongeurs, pour que je constitue une proie potentielle !
La première plongée du séjour a lieu dans la région de Durban. Nous embarquons dans la petite ville d'Umkomaas, d'où un bateau nous conduit sur le récif d'Aliwal shoal, où rôdent toujours plusieurs espèces de requins.
Je m'en rends compte avant même la mise à l'eau, puisque des ailerons dépassent de la surface de l'eau…
Pas vraiment un baptême, plutôt un baptême du feu !
Ce qui se confirme une fois dans l'eau : attirés par les sardines que notre guide Walter répand en petits morceaux près de nous, les requins bordés tournent sans relâche autour de la nourriture
Certains nous frôlent de quelques centimètres !
Inutile de vous faire un dessin : le requin tigre qui se mêle ici aux requins bordés est aisément reconnaissable, malgré une eau chargée en particules.
C'est juste...impressionnant, immense ! Nos moniteurs estiment qu'il s'agit d'une femelle d'environ vingt cinq ans, mesurant près de quatre mètres ! Les zébrures sur le dos, le corps massif, impossible de le confondre avec le longiligne requin bordé, également reconnaissable à son nez pointu.
Autre différence « de taille », le bordé ne présente guère de danger pour l'homme, alors que le tigre si ! Comme on l'apprend dans ce livre : les caractéristiques morphologiques et alimentaires du requin-tigre le classe automatiquement dans la catégorie des requins potentiellement dangereux pour l'homme.
Pour m'être retrouvé « nez à nez » avec ce géant des mers, je confirme ce qui est écrit : "il nage lentement la plupart du temps, mais reste totalement imprévisible et peut parfois accélérer, se tourner ou changer soudainement de comportement".
Avec moi, il a changé de direction…Je venais juste de mettre en marche ma caméra, le tigre me paraissait loin, mais un brusque virage à gauche le propulse dans ma direction…Je dois mon salut aux deux moniteurs, qui appliquèrent les conseils du livre précité : "lors d’une plongée sous stimulation alimentaire, au cas où le requin viendrait au contact, le réorienter en positionnant sa main sur le dessus de sa tête et en l’écartant vivement (mais gentiment) vers l’extérieur".
C’était chaud ! Il avait suffi que je descende sans m’en rendre compte deux-trois mètres plus bas que les autres plongeurs, pour que je constitue une proie potentielle !