Le pianiste Alain Planès interprète les Six épigraphes antiques de Claude Debussy. Enregistré le 11 mars 2018 à l’Auditorium de la Maison de la Radio (Paris).
Si la version pour piano à quatre mains des Six Epigraphes antiques de Claude Debussy date de 1914, leur matériau sonore est bien antérieur. En 1900, Debussy écrit une musique de scène pour les Chansons de Bilitis de son ami Pierre Louÿs.
L’œuvre entraîne l’imagination dans un voyage vers un Orient rêvé. Comme bien souvent chez Debussy, l’atmosphère sonne juste et authentique alors que l’Antiquité qu’il dépeint n’a rien de véridique.
La pièce « Pour invoquer Pan, dieu du vent d’été » ouvre le cycle et instaure un climat pastoral empreint de douceur. Cette délicieuse rêverie est soudain ternie par les accents inquiétants de « Pour un tombeau sans nom », le deuxième morceau. Viennent ensuite deux mouvements animés, « Pour que la nuit soit propice » et « Pour la danseuse de crotale ». Teintée de couleurs très orientales, « Pour l’Egyptienne » pourrait, selon Harry Halbreich, évoquer l’image de l'Algérienne dont Pierre Louÿs était épris, Zohra Ben Brahim. L’œuvre se clôt par une pièce intitulée « Pour remercier la pluie au matin » dans laquelle on retrouve le thème initial.
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Si la version pour piano à quatre mains des Six Epigraphes antiques de Claude Debussy date de 1914, leur matériau sonore est bien antérieur. En 1900, Debussy écrit une musique de scène pour les Chansons de Bilitis de son ami Pierre Louÿs.
L’œuvre entraîne l’imagination dans un voyage vers un Orient rêvé. Comme bien souvent chez Debussy, l’atmosphère sonne juste et authentique alors que l’Antiquité qu’il dépeint n’a rien de véridique.
La pièce « Pour invoquer Pan, dieu du vent d’été » ouvre le cycle et instaure un climat pastoral empreint de douceur. Cette délicieuse rêverie est soudain ternie par les accents inquiétants de « Pour un tombeau sans nom », le deuxième morceau. Viennent ensuite deux mouvements animés, « Pour que la nuit soit propice » et « Pour la danseuse de crotale ». Teintée de couleurs très orientales, « Pour l’Egyptienne » pourrait, selon Harry Halbreich, évoquer l’image de l'Algérienne dont Pierre Louÿs était épris, Zohra Ben Brahim. L’œuvre se clôt par une pièce intitulée « Pour remercier la pluie au matin » dans laquelle on retrouve le thème initial.
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