Le 26 mars 2019 au Théâtre Toursky, Marseille
Infos & Résa : https://www.toursky.fr/spectacle/jai-soif/
« Celui qui oublie son passé, se condamne à le revivre. » Primo Levi. Un spectacle inclassable. Une œuvre saisissante, poignante. Un magnifique travail de mémoire.
Vingt siècles les séparent. Pourtant, dans les moments les plus terribles de leurs supplices, luttant pour supporter la torture et l’humiliation, le Christ comme Primo Levi prononcent cette même parole : « J’ai soif. » C’est ainsi qu’est née l’idée de faire dialoguer deux œuvres majeures : Les Sept dernières paroles du Christ, de Joseph Haydn et le texte de Primo Levi. Une mise en miroir rehaussée par les œuvres picturales de Sylvie Kajman.
La musique d’Haydn, magistralement interprétée par Roland Conil, entre en résonnance avec les mots de Primo Levi qui livre son témoignage de survivant de camps de concentration d’Auschwitz.
J’ai soif, nous questionne sur la destruction des valeurs humanistes par l’idéologie nazie, les souffrances infligées et subies, les drames et les atrocités commises par l’homme sur l’homme.
Les mots comme les notes sont ici des chants de souffrance vécus au quotidien. Dire l’indicible, évoquer la souffrance, l’incroyable, Serge Barbuscia y parvient parfaitement. Face à la déshumanisation, la réponse est la révolte de l’homme, son cri de liberté.
L’instinct de survie, la soif d’amour et d’humanité rattrapent l’œuvre de mort engagée. La salle est à l’écoute, figée par l’émotion.
“ Saisissant...”
Mise en scène et avec Serge Barbuscia, d'après Primo Levi et Pieralberto Marchesini.
Musique Joseph Haydn | Au piano Roland Conil.
Durée : 1h10
Infos & Résa : https://www.toursky.fr/spectacle/jai-soif/
« Celui qui oublie son passé, se condamne à le revivre. » Primo Levi. Un spectacle inclassable. Une œuvre saisissante, poignante. Un magnifique travail de mémoire.
Vingt siècles les séparent. Pourtant, dans les moments les plus terribles de leurs supplices, luttant pour supporter la torture et l’humiliation, le Christ comme Primo Levi prononcent cette même parole : « J’ai soif. » C’est ainsi qu’est née l’idée de faire dialoguer deux œuvres majeures : Les Sept dernières paroles du Christ, de Joseph Haydn et le texte de Primo Levi. Une mise en miroir rehaussée par les œuvres picturales de Sylvie Kajman.
La musique d’Haydn, magistralement interprétée par Roland Conil, entre en résonnance avec les mots de Primo Levi qui livre son témoignage de survivant de camps de concentration d’Auschwitz.
J’ai soif, nous questionne sur la destruction des valeurs humanistes par l’idéologie nazie, les souffrances infligées et subies, les drames et les atrocités commises par l’homme sur l’homme.
Les mots comme les notes sont ici des chants de souffrance vécus au quotidien. Dire l’indicible, évoquer la souffrance, l’incroyable, Serge Barbuscia y parvient parfaitement. Face à la déshumanisation, la réponse est la révolte de l’homme, son cri de liberté.
L’instinct de survie, la soif d’amour et d’humanité rattrapent l’œuvre de mort engagée. La salle est à l’écoute, figée par l’émotion.
“ Saisissant...”
Mise en scène et avec Serge Barbuscia, d'après Primo Levi et Pieralberto Marchesini.
Musique Joseph Haydn | Au piano Roland Conil.
Durée : 1h10
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