Affaire de l'ex-espion russe : les analyses ne prouvent pas que le poison venait de la Russie

  • il y a 6 ans
Un laboratoire britannique a reconnu ne pas avoir de preuve que la substance utilisée contre un ex-espion russe en Angleterre provenait vraiment de la Russie. L'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques va alors se réunir ce mercredi à la demande de Moscou. Le Kremlin réclame des excuses de la part de la Première ministre britannique Theresa May.

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