Après dix-huit ans passés aux commandes, Vladimir Poutine sera-t-il réélu à la tête de la Russie ? Le suspens est insoutenable...
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A bien des égards, la présidentielle russe a l’air jouée d’avance.
D’abord parce que Vladimir Poutine bénéficie d’une cote de popularité écrasante, avec près de 70% des intentions de votes.
Ensuite, parce que parmi les sept candidats qui se présentent face à lui, il n’y a aucun adversaire de poids : aucun des challengers ne rassemble plus de 8% des intentions de vote… selon les instituts de sondage.
On ne peut pas vraiment dire que Vladimir Poutine s’épuise alors à faire campagne. À quelques jours du premier tour, il n’avait fait, en tout, qu’un seul meeting, avec une durée totale de discours... de 3 minutes. Il n’a pas non plus participé au débat télévisé entre les candidats. En revanche, ce que le président-candidat n’a pas manqué de faire, c’est d’annoncer l’augmentation anticipée du salaire minimum… avec huit mois d’avance par rapport à ce qui était prévu.
S’il gagne cette présidentielle, Vladimir Poutine n’aura théoriquement pas le droit de se présenter en 2024, puisqu’en Russie, comme en France, un président ne peut pas faire plus de deux mandats consécutifs... sauf s'il décide de changer la Constitution.
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Parle à Monkey, ma tête est malade...
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S’il gagne cette présidentielle, Vladimir Poutine n’aura théoriquement pas le droit de se présenter en 2024, puisqu’en Russie, comme en France, un président ne peut pas faire plus de deux mandats consécutifs... sauf s'il décide de changer la Constitution.
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