En Belgique, une publicité ambulante a fait un tel scandale à Bruxelles que les autorités ont fini par l’interdire et une enquête a été ouverte pour incitation à la débauche.
Un site de rencontre en ligne proposait aux étudiantes de devenir des escort-girl. Depuis, les réactions se multiplient.
Rudi Vervoort, ministre-président de Bruxelles : “Je ne suis pas là pour faire la morale, tant qu’on est entre adulte consentant je n’ai aucun jugement à porter, en revanche on se trouve ici dans un mécanisme où d’une certaine manière on a une forme de proxénétisme 2.0.”
En Belgique, une campagne publicitaire invite à la prostitution étudiante https://t.co/eKgJmvZvyA pic.twitter.com/d6tXcuOp0c— Libération (@libe) 27 septembre 2017
Le site de rencontre dit vouloir mettre en relation des hommes riches et âgés avec de jeunes et jolies jeunes femmes, de préférence étudiantes. Mais le patron (norvégien) de l’entreprise incriminée jure qu’il ne s’agit pas de prostitution.
Sigurd Vedal préfère parler d’accompagnement de jeunes femmes par des hommes expérimentés pour les aider à démarrer leur carrière et soutenir leurs ambitions. “Ce sont des qualités que l’ont trouve attrayantes chez un homme”, dit-il.
Mais la “plaisanterie” n’a pas du tout plu à l’Université Libre de Bruxelles qui a porté plainte. La publicité mobile avait circulé sur son campus. Depuis mercredi la campagne de publicité est interdite à Bruxelles mais pas encore dans le reste du pays.
Belgique: enquête sur une pub recrutant des étudiantes pour «sugardaddies» https://t.co/VFa7VLnjn0 pic.twitter.com/c05YZlPdgr— RFI (@RFI) 27 septembre 2017
Avec Agences
Un site de rencontre en ligne proposait aux étudiantes de devenir des escort-girl. Depuis, les réactions se multiplient.
Rudi Vervoort, ministre-président de Bruxelles : “Je ne suis pas là pour faire la morale, tant qu’on est entre adulte consentant je n’ai aucun jugement à porter, en revanche on se trouve ici dans un mécanisme où d’une certaine manière on a une forme de proxénétisme 2.0.”
En Belgique, une campagne publicitaire invite à la prostitution étudiante https://t.co/eKgJmvZvyA pic.twitter.com/d6tXcuOp0c— Libération (@libe) 27 septembre 2017
Le site de rencontre dit vouloir mettre en relation des hommes riches et âgés avec de jeunes et jolies jeunes femmes, de préférence étudiantes. Mais le patron (norvégien) de l’entreprise incriminée jure qu’il ne s’agit pas de prostitution.
Sigurd Vedal préfère parler d’accompagnement de jeunes femmes par des hommes expérimentés pour les aider à démarrer leur carrière et soutenir leurs ambitions. “Ce sont des qualités que l’ont trouve attrayantes chez un homme”, dit-il.
Mais la “plaisanterie” n’a pas du tout plu à l’Université Libre de Bruxelles qui a porté plainte. La publicité mobile avait circulé sur son campus. Depuis mercredi la campagne de publicité est interdite à Bruxelles mais pas encore dans le reste du pays.
Belgique: enquête sur une pub recrutant des étudiantes pour «sugardaddies» https://t.co/VFa7VLnjn0 pic.twitter.com/c05YZlPdgr— RFI (@RFI) 27 septembre 2017
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