Parti de Polynésie en 2013, Zika s’est propagé en Amérique du Sud comme une traînée de poudre.
Particulièrement redouté par les femmes enceintes, le virus aurait pourtant des propriétés curatives : il pourrait éradiquer des cellules cancéreuses logées dans le cerveau.
Jeremy Rich, de l’Université de Californie à San Diego, a testé le virus Zika sur un glioblastome, la forme la plus commune de tumeur au cerveau et l’une des plus difficiles à traiter.
Lorsqu’il est exposé à des d’échantillons humains porteurs de glioblastome, le virus détruit toutes les cellules cancéreuses !
Les chercheurs ont infecté 9 souris avec le glioblastome ; dans ces conditions, les rongeurs auraient seraient morts en l’espace d’un mois.
Puis ils ont inoculé Zika aux cobayes. Avec le virus parcourant leurs minuscules veines, 4 des 9 rongeurs sont encore vivants après 2 mois d’expérimentation.
Transposer cette application curative de Zika à l’être humain apparaît compliqué pour Rich, d’autant que « la maladie affecte les souris différemment que l’homme ».
Ils préfèrent tourner leurs efforts vers la manipulation génétique du virus, afin de le rendre plus sûr et plus facile à contrôler.
Particulièrement redouté par les femmes enceintes, le virus aurait pourtant des propriétés curatives : il pourrait éradiquer des cellules cancéreuses logées dans le cerveau.
Jeremy Rich, de l’Université de Californie à San Diego, a testé le virus Zika sur un glioblastome, la forme la plus commune de tumeur au cerveau et l’une des plus difficiles à traiter.
Lorsqu’il est exposé à des d’échantillons humains porteurs de glioblastome, le virus détruit toutes les cellules cancéreuses !
Les chercheurs ont infecté 9 souris avec le glioblastome ; dans ces conditions, les rongeurs auraient seraient morts en l’espace d’un mois.
Puis ils ont inoculé Zika aux cobayes. Avec le virus parcourant leurs minuscules veines, 4 des 9 rongeurs sont encore vivants après 2 mois d’expérimentation.
Transposer cette application curative de Zika à l’être humain apparaît compliqué pour Rich, d’autant que « la maladie affecte les souris différemment que l’homme ».
Ils préfèrent tourner leurs efforts vers la manipulation génétique du virus, afin de le rendre plus sûr et plus facile à contrôler.
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