On pensait tout savoir des circonstances qui ont entouré le décès tragique de la princesse Diana. Et pourtant, 20 ans après, M6 vous dévoile de nouveaux éléments qui jusqu'alors avaient été gardés secrets et qui viennent étayer un nouveau scénario du drame. Car aujourd'hui, après une longue enquête de l'agence de presse Tony Comiti et des journalistes de Paris Match, auteurs du livre « Qui a tué Lady Di ? », publié prochainement chez Grasset, nous sommes en mesure de révéler une nouvelle information, négligée à l'époque par les enquêteurs français et ceux de Scotland Yard. À partir du dossier d'instruction et des centaines de procès-verbaux que les auteurs ont pu consulter, ils ont repris toute l'enquête, procédé à des reconstitutions grandeur nature, sollicité les meilleurs experts et retrouvé des témoins qui n'avaient, jusqu'à présent, jamais parlé.
Le 31 août 1997, il est zéro heure vingt lorsque la Mercedes de Lady Di percute, à vive allure, le treizième pilier du tunnel de l'Alma à Paris. À l'arrière de la voiture, la princesse de Galles est gravement blessée. À ses côtés, son amant, Dodi Al Fayed, est mort sur le coup. Tout comme Henri Paul, le responsable adjoint de la sécurité de l'hôtel Ritz qui est au volant ce soir-là. Quant au garde du corps du couple, Trevor Rees-Jones, il est toujours en vie mais dans un état grave. D'abord soignée sur place, puis à bord de l'ambulance qui l'emmène à l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière, la princesse est déclarée morte à quatre heures vingt-cinq du matin, victime d'une hémorragie interne.
Sur les causes de ce drame, plusieurs hypothèses seront avancées. Immédiatement, ce sont les photographes, qui suivaient le couple depuis son arrivée à Paris, qui sont mis en cause. Leur comportement aurait poussé le chauffeur à rouler trop vite. Puis, l'enquête va démontrer que le conducteur, Henri Paul, était ce soir-là sous l'emprise de l'alcool et drogué aux antidépresseurs ce qui expliquerait sa perte de contrôle du véhicule. Des dizaines d'autres théories ont vu le jour, à l'instar de celle qui désigne les services secrets britanniques comme les auteurs de l'assassinat de la princesse, maquillé en accident de la route. Comme celle qui conduit également au rôle obscur de la fameuse Fiat Uno blanche que toutes les polices ont recherché.
Toutes ces pistes ont été explorées par la brigade criminelle, la gendarmerie. Toutes ? Presque… Et vous allez découvrir que cet accident sous le pont de l'Alma à Paris ce 31 août 1997 aurait pu être évité. De révélation en révélation, au fil d'une enquête implacable soutenue par une réalisation cinématographique, c'est un document exceptionnel, présenté par Ophélie Meunier, que M6 vous propose ce soir et qui éclaire d'un jour nouveau la mort de la princesse.
Le 31 août 1997, il est zéro heure vingt lorsque la Mercedes de Lady Di percute, à vive allure, le treizième pilier du tunnel de l'Alma à Paris. À l'arrière de la voiture, la princesse de Galles est gravement blessée. À ses côtés, son amant, Dodi Al Fayed, est mort sur le coup. Tout comme Henri Paul, le responsable adjoint de la sécurité de l'hôtel Ritz qui est au volant ce soir-là. Quant au garde du corps du couple, Trevor Rees-Jones, il est toujours en vie mais dans un état grave. D'abord soignée sur place, puis à bord de l'ambulance qui l'emmène à l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière, la princesse est déclarée morte à quatre heures vingt-cinq du matin, victime d'une hémorragie interne.
Sur les causes de ce drame, plusieurs hypothèses seront avancées. Immédiatement, ce sont les photographes, qui suivaient le couple depuis son arrivée à Paris, qui sont mis en cause. Leur comportement aurait poussé le chauffeur à rouler trop vite. Puis, l'enquête va démontrer que le conducteur, Henri Paul, était ce soir-là sous l'emprise de l'alcool et drogué aux antidépresseurs ce qui expliquerait sa perte de contrôle du véhicule. Des dizaines d'autres théories ont vu le jour, à l'instar de celle qui désigne les services secrets britanniques comme les auteurs de l'assassinat de la princesse, maquillé en accident de la route. Comme celle qui conduit également au rôle obscur de la fameuse Fiat Uno blanche que toutes les polices ont recherché.
Toutes ces pistes ont été explorées par la brigade criminelle, la gendarmerie. Toutes ? Presque… Et vous allez découvrir que cet accident sous le pont de l'Alma à Paris ce 31 août 1997 aurait pu être évité. De révélation en révélation, au fil d'une enquête implacable soutenue par une réalisation cinématographique, c'est un document exceptionnel, présenté par Ophélie Meunier, que M6 vous propose ce soir et qui éclaire d'un jour nouveau la mort de la princesse.
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