Entretien avec le peintre Pascal Roiné
- il y a 7 ans
Pascal Roiné a commencé à peindre vers l'âge de 16 ans, peu après son arrivée à l'Ecole Estienne. Il intègre par la suite un atelier de peinture aux Beaux Arts de Paris, en auditeur libre. Bien qu'attiré très tôt par l'art fantastique dans des domaines aussi éclectiques que la littérature, l'illustration, la bande dessinée, la peinture ou le cinéma, influencé par divers courants modernes et contemporains, il a expérimenté des styles très différents.
Au début des années 2000, il commence à peindre ses premières images d'inspiration onirique. Ces tableaux sont tout à la fois construits et improvisés.
Les contes, les mythes, l'art antique et médiéval, le symbolisme et le surréalisme sont aujourd'hui ses principales sources d'inspiration. Il apprécie particulièrement les œuvres de Jérôme Bosch, Brueghel, Goya, Rembrandt, Gustave Moreau, mais aussi celles de Max Ernst, Balthus et Francis Bacon.
A l'aide d'une palette réduite, il privilégie le dessin et la lumière. Il élabore des images intemporelles, au climat intimiste, afin de favoriser, de susciter la rêverie et l'interprétation.
Il dessine d'abord au crayon ou à la mine de plomb, continue ensuite avec des glacis d'acrylique, par couches successives. Des figures et des éléments apparaissent progressivement, des symboles surgissent, se superposent ou bien disparaissent, tout au long de la réalisation du tableau, jusqu'à l'équilibre final.
Au début des années 2000, il commence à peindre ses premières images d'inspiration onirique. Ces tableaux sont tout à la fois construits et improvisés.
Les contes, les mythes, l'art antique et médiéval, le symbolisme et le surréalisme sont aujourd'hui ses principales sources d'inspiration. Il apprécie particulièrement les œuvres de Jérôme Bosch, Brueghel, Goya, Rembrandt, Gustave Moreau, mais aussi celles de Max Ernst, Balthus et Francis Bacon.
A l'aide d'une palette réduite, il privilégie le dessin et la lumière. Il élabore des images intemporelles, au climat intimiste, afin de favoriser, de susciter la rêverie et l'interprétation.
Il dessine d'abord au crayon ou à la mine de plomb, continue ensuite avec des glacis d'acrylique, par couches successives. Des figures et des éléments apparaissent progressivement, des symboles surgissent, se superposent ou bien disparaissent, tout au long de la réalisation du tableau, jusqu'à l'équilibre final.