Une femme tente d’apitoyer les gens en se faisant passer pour ce qu’elle n’est pas auprès des automobilistes.
Depuis plusieurs mois sur Paris et dans d’autres villes, des femmes font la manche avec des pancartes expliquant qu’elles sont syriennes et qu’elles ont besoin d’aide pour elles et leurs familles. Ces femmes jouent sur la compassion des gens envers la situation de la Syrie et de ses habitants afin de grappiller quelques pièces.
Cependant, le patron d’un restaurant syrien a démontré que ces femmes étaient loin d’être des prétendues Syriennes en détresse. Arrêté à un feu rouge, il demande à l’une d’entre elles si elle parle arabe. Cette dernière lui répond que non et lui raconte qu’elle vient de Roumanie. Excédé par ces arnaques, l’homme met en garde : "Il profite de la misère des autres, c’est pas possible ! […] Ces connards aux feux rouges qui se font passer pour des syriens, j’ai envie de leur péter la gueule. Il ne faut pas les écouter ces gens là. Il ne faut pas donner. Faites attention !"
Depuis plusieurs mois sur Paris et dans d’autres villes, des femmes font la manche avec des pancartes expliquant qu’elles sont syriennes et qu’elles ont besoin d’aide pour elles et leurs familles. Ces femmes jouent sur la compassion des gens envers la situation de la Syrie et de ses habitants afin de grappiller quelques pièces.
Cependant, le patron d’un restaurant syrien a démontré que ces femmes étaient loin d’être des prétendues Syriennes en détresse. Arrêté à un feu rouge, il demande à l’une d’entre elles si elle parle arabe. Cette dernière lui répond que non et lui raconte qu’elle vient de Roumanie. Excédé par ces arnaques, l’homme met en garde : "Il profite de la misère des autres, c’est pas possible ! […] Ces connards aux feux rouges qui se font passer pour des syriens, j’ai envie de leur péter la gueule. Il ne faut pas les écouter ces gens là. Il ne faut pas donner. Faites attention !"
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