Les seiches, les pieuvres ou encore les calamars, sont capables de modifier eux-mêmes leur propre code génétique.
Ainsi, les céphalopodes peuvent parfois interférer avec leur code génétique en modifiant leur ARN.
Les cellules utilisent l’ARN comme support intermédiaire des gènes pour synthétiser les protéines dont elles ont besoin.
L’organisme des céphalopodes a la capacité de modifier cet ARN, qui est produit à partir de l’ADN, qui lui n’est pas modifié.
La plupart de ces modifications ont lieu dans le cerveau, ce qui permet par exemple aux neurones de fonctionner dans le froid.
Les scientifiques soupçonnent cette capacité de modification de l’ARN d’être à l’origine de l’intelligence exceptionnelle de ces créatures.
Ainsi, les céphalopodes peuvent parfois interférer avec leur code génétique en modifiant leur ARN.
Les cellules utilisent l’ARN comme support intermédiaire des gènes pour synthétiser les protéines dont elles ont besoin.
L’organisme des céphalopodes a la capacité de modifier cet ARN, qui est produit à partir de l’ADN, qui lui n’est pas modifié.
La plupart de ces modifications ont lieu dans le cerveau, ce qui permet par exemple aux neurones de fonctionner dans le froid.
Les scientifiques soupçonnent cette capacité de modification de l’ARN d’être à l’origine de l’intelligence exceptionnelle de ces créatures.
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