Sous sa jupe fendue_0001
Sous sa jupe fendue
Divulgués sa démarche
En faisant danser sa silhouette
Le pan de sa jupe fendue se déambulait
Sur ses jambes nues avantageuses
J’observais sa peau si douce
Quand elle dévoile son buste
Sa peau en soie me faisant vibrer
Puis sa peau comment ça me toucher
D’un aire de ne pas y toucher
M’approchant d’elle,
Elle commence à se reculer
D’un air étonné à se demander pourquoi je viens faire là
La voyante apeuré je lui prie la main pour le rassurer
A son poignet j’observe un bracelet élégant
Puis elle retira brusquement sa main de mon emprise
Exciter surement je l’étais je réalise en la voyant désorienté
Je ne peux que lire sur son visage ces larmes qui coulaient
Et la souffrance quelle dégager
Je lui ai fait don de ma main à nouveau
Dans le souffle de la nuit qui s’enfuit
Je les prise dans mes bras et l’amour
Était là, à nous attendre
Quel dur destin pour ce petit être atrophié
Doucement et me reviens à l’esprit
Qui et elle cette créature devant moi
N’était ce pas un mirage
Non ce n’était qu’une dure réalité
Sur un chemisier elle dévoilait
Sa poitrine aux seins nus
Ou le vent caresse sa jupe par un vent léger
Et la vanité du vêtement nous renvoie
À des êtres inéluctablement perdus
De temps en temps je vois son reflet de son ombre
Dans le soleil timide et encore limpide
Vient de mirer cette surface galbée dont de cristaux
Éclatants lui renvoient son sourire.
Et me renvoie son parfum qui s’envole dans l’air
C’est lui qui nous interpelle, nous émeut
Par l’odeur, le parfum s’exprime, on si habitue
De sa présence, se laissent appréhender,
Puis relève son émotion,
Et laissent un massage De sa jupe fendue
Viendra le jour où je la prendrais pour toujours
Divulgués sa démarche
En faisant danser sa silhouette
Le pan de sa jupe fendue se déambulait
Sur ses jambes nues avantageuses
J’observais sa peau si douce
Quand elle dévoile son buste
Sa peau en soie me faisant vibrer
Puis sa peau comment ça me toucher
D’un aire de ne pas y toucher
M’approchant d’elle,
Elle commence à se reculer
D’un air étonné à se demander pourquoi je viens faire là
La voyante apeuré je lui prie la main pour le rassurer
A son poignet j’observe un bracelet élégant
Puis elle retira brusquement sa main de mon emprise
Exciter surement je l’étais je réalise en la voyant désorienté
Je ne peux que lire sur son visage ces larmes qui coulaient
Et la souffrance quelle dégager
Je lui ai fait don de ma main à nouveau
Dans le souffle de la nuit qui s’enfuit
Je les prise dans mes bras et l’amour
Était là, à nous attendre
Quel dur destin pour ce petit être atrophié
Doucement et me reviens à l’esprit
Qui et elle cette créature devant moi
N’était ce pas un mirage
Non ce n’était qu’une dure réalité
Sur un chemisier elle dévoilait
Sa poitrine aux seins nus
Ou le vent caresse sa jupe par un vent léger
Et la vanité du vêtement nous renvoie
À des êtres inéluctablement perdus
De temps en temps je vois son reflet de son ombre
Dans le soleil timide et encore limpide
Vient de mirer cette surface galbée dont de cristaux
Éclatants lui renvoient son sourire.
Et me renvoie son parfum qui s’envole dans l’air
C’est lui qui nous interpelle, nous émeut
Par l’odeur, le parfum s’exprime, on si habitue
De sa présence, se laissent appréhender,
Puis relève son émotion,
Et laissent un massage De sa jupe fendue
Viendra le jour où je la prendrais pour toujours
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